Les politiciens nous vendent, tout quand ils se présentent à être élus « démocratiquement », de se mettre au service de leurs électeurs ; c'est-à-dire, qu'ils se constituent comme serveurs du pays, à savoir du peuple. En conséquence, madame Nadine Morano, vous étiez, comme élue, soumise à toute critique, toujours qu'elle ne soit diffamatoire, de là que, si une travailleuse, c'est le cas-critique, la présence d'un garde de corps à votre service (lequel celle-là doit payer). Parce que vous faisiez progressivement vos cours particuliers, cette travailleuse a tout le droit de l'en faire. Si vous avez peur, elle peut l'en avoir aussi, mais elle n'en a aucun, évidemment, à son service.
Néanmoins, si vous prétendez justifier cette prébende, due à la peur que votre charge provoque, ne vous présentez pas pour vous mettre « au service de l'État » parce que cela fera mettre « l'État à votre service ».
En outre, madame Nadine Morano, ayant voulu vous demander excuses à cette employée, pourquoi avez-vous appelé la présence du directeur lèche-cul du magasin et puis, de cette aptitude, vous disiez n'avoir pas fait virer la vendeuse ?
Bon exemple, soyez-vous ministre de l'apprentissage !
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