mercredi 18 mai 2011

LE SOUPÇON COMME VRAI

    N'importe quel animal, naître, se développe, se reproduit et meurt ; voilà ce qui devrait être toute l'essence de leur nature. Alors que, et compte tenu de que chaque espèce, ayant des différentes habitudes alimentaires, pour accomplir son respectif cycle, ce qui le leur conditionne à adapter le physique de chacune à cette mise en œuvre, celui-là qui est aussi une prodigieuse œuvre d'ingénierie génétique et qui fait chaque espèce soit, tellement, aussi différente. Pourtant, ce prodige a eu, à moyenne que le temps coule, résultats quand même curieux dans l'animal humain ; leurs mâles, ceux qui ont eu presque toujours la prépondérance dans leur espèce, s'est allé, progressivement, perdant, d'abord des conditions physiques, il faut dire que dans cet aspect leurs femelles aussi, puis ils ont perdu la tête, celle-ci qui les a faits aussi puissants qu'ils en sont, et à cause de cette circonstance a donné pour se détruire eux-mêmes. Par contre, ils ont gagné, il faut reconnaître qu'ils ont gagné quelque chose, un instinct inusité pour se reproduire, bien qu'il soit à titre symbolique (ils se jettent au faux comme s'ils fussent des taureaux)  il est née l'animal politicien, celui-ci qui dès l'instant même qu'il l'en est, il est aussi sous soupçon logique et incontestable de tout ce qu'il fait.
      Peut-être et donnée la responsabilité qu'ils ont, la seule solution serait de les châtrer, peut-être qu'ils inventeraient une autre chose avec laquelle taquiner leurs congénères. Alors pourquoi ne pas faire disparaître ces avortons d'humains ?

     Dédié de tout cœur aux politiciens tous.

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