Inopinément,
chaque fois surprends moins que les jeunes gens, passent à tabac leurs
copains, violent leurs copines, assassinent, volent à la mitrailleuse
(ils sont toujours trop jeunes pour l'en faire dès les bureaux)
souhaitent devenir policiers quand non politiciens ; seulement le reste
l'en faire à curés.
Les jeunes gens d'aujourd'hui, à l’égal que celles-là d'ailleurs, ne
désirent pas d'autre chose laquelle ne l'en ait été pour ses grands. Ils
ne sont pas, en l'étant, coupables de tout, de leur avatar, ils sont
donc dans le limbe de la contradiction ; ce qui n'exclut pas que la société
doit se défendre d'eux, pour ne pas se soumettre, plus, sous le fascisme
social, à l'économique : il y en est servi.
Il n'est pas assez, pour toute solution, de mettre au pas ces crapules,
surtout maintenant qu'ils sont devenus boiteux, tandis que leurs
maîtres sont là où ils veulent, eux aussi, arriver : « le paradis de la
méchanceté ».
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