Me
servant d'un verre en cristal de Bohême, pour faire plus
délicatement le transit du vin que d'une bouteille, je le transvase,
coup à coup. Ainsi, moyenne que j'épuise le contenu de celui-là,
pour arroser ma bouche, dont cette gloire vivifiante va couler par
les voies de mes entrailles qui lui vont y conduire jusqu'à
déboucher à mon estomac ; là où, puis de m'avoir envahi de ses
arômes et goût, s'en dissocier son esprit et excipients pour cet
esprit dérouté par tout mon être jusqu'à enivrer mon cerveau
d'amitié… d'amour.
Quelle mauvaise réveille, en me trouvant tout seul ?
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