mercredi 20 avril 2011

UN RÊVE

   Le rêve de mes désirs se trouve prisonnier des branches, 
   Des arbres qui peuplent la forêt de l'indifférence,
   Qu'elles ont tissé,
   S'entremêlant celles-ci des uns à celles-là des autres,
   Fabriquant un épais rideau qui lui empêche voir les nuages,
   Il faut grimper par l'arbre de la douceur
   En le caressant,
   Surpasser le rideau, et,
   Pousser ses lèvres sur celles-là où se désaltérer de la crainte
   Se dégager de la moindre âpreté, et,
   Après de pousser les mains au dos du désespoir
   Le lui serrer, poitrine contre poitrine,
   L'exprimant jusqu'à seulement reste l'espoir. 

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