jeudi 7 avril 2011

MOI AUSSI JE VEUX QU'ON ME SAUVE

    Ces dernières années, je n'ai rien fait que n'importe quelle personne ; évidemment, la mode change à telle vitesse qu'il y a eu des vêtements qui, depuis, après les avoir achetés. Je n'ai pu ni les étrenner, de même que des chaussures ainsi que des accessoires pertinents, mais, qu'est-ce que je peux le faire ? Je suis conscient de cette débauche, comme aussi de l’impotence que j'ai contre ça. En plus, les terrasses, les restaurants et les cabarets, jour le jour, ils sont davantage et plus chers ; et que dire des voitures ? Les griffes changent de modèle, comme moi de linge, à ce qu'il faut ajouter le scandaleux prix de l'essence. Enfin, que tout a monté de telle façon que chez moi, je ne peux pas payer les domestiques ; ma progéniture mène un train de vie presque comme ceux-là menaient.
    Grèce, Irlande, Portugal, la prochaine et toutes les prochaines, va-t-on qu'un poisson ! vous encule
        L'Islande a rangé tout à coup un semblable, sinon plus grave problème, en mettant tout le gouvernement en galère, de même qu'aux joueurs qu'il y en a fait avec l'argent du peuple (toujours s'en faire avec). Évidemment, le nouveau gouvernement s'est nié payer une dette qu'il n'a pas contractée.
      La presse a bien dissimulé cette affaire islandaise parce qu'elle produisait une douleur de ventre (tête, ces personnes n'ont point) à leurs patrons. Il ne s'agit pas qu'ils n'aient pas su. Il s'agit qu'ils ne veulent pas que les personnes du mal nommé monde libre ne soient pas informées. On ne fera qu'ajouter que la presse est la plus grande affaire de ces spéculateurs charognards.
 
    La liberté de presse n'existe pas. 

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