lundi 25 avril 2011

DÉDUCTIONS

    Le temps passe sur notre vie sans s'arrêter, tant qu'elle existe, cela qui la met en la situation où elle est à cause d'être placée dans une société "la nôtre" qui traîne de la succession des générations pendant le parcours par cet espace, des concepts hérités que nous ouvrent à d'autres nouveaux, d'une vitesse prodigieuse ainsi que de plus en plus fort, dues à leurs multiplications que s'en vont amplifiant à moyenne que le temps coule.
     L'apprentissage, pour le bien ou le mal, ne va jamais s'arrêter toutefois que la vie soit. Cela qui nous concerne parce que les données sont intrinsèques à la vie même, ce qui a invité à réflexions telles que, par exemple, celle-là qu'a amené dans une époque, si prochaine autant que lointaine, au grand Baudelaire ses propres analyses empiriques à se tenir de qu'une personne qui ne communique pas intellectuellement ne sert à rien. Quelque chose compréhensible, lorsqu'en vivant en société, c'est ça, qui a produit que nous soyons ce que nous sommes, ce qui, nous conditionne à donner du fruit de l'arbre que l'on a fait des renseignements-là ; ne faites pas contraster proportionnalités, la valeur n'est pas une question de volume, la question, c'est apporter.
      Quoique ma sagesse n'ait rien à voir avec celle de personnages comme le nommé Baudelaire, j’ai seulement celle-là de les aimer, je veux moi aussi mettre une perle qui m'est venue de la bouche d'un ami, qui, il avait en même temps un autre que toutefois qu'il regardait un film pornographique ne décollait pas ses yeux de l'écran jusqu'au tel film eusse fini ; il voulait, me dit mon ami (sans se décoller, lui aussi, d'un ironique sourire) voir le désarroi final de ces films-là. La déduction j'en préfère vous la laisser faire à votre aise.

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