Le
temps passe sur notre vie sans s'arrêter, tant qu'elle existe, cela qui
la met en la situation avec laquelle elle est à cause d'être placée
dans une société « la nôtre » qui traîne de la succession des
générations pendant le parcours par cet espace, des concepts hérités que
nous ouvrent à d'autres nouveaux, d'une vitesse prodigieuse ainsi que
de plus en plus fort, dues à leurs multiplications que s'en vont
amplifiant à moyenne que le temps coule.
L'apprentissage, pour le bien ou le mal, ne va jamais s'arrêter,
toutefois que la vie soit. Cela qui nous concerne parce que les données
sont intrinsèques à la vie même, ce qui a invité à réflexions telles
que, par exemple, celle-là qu'a amené dans une époque, si prochaine
autant que lointaine, au grand Baudelaire ses propres analyses
empiriques à se tenir de qu'une personne qui ne communique pas
intellectuellement ne sert à rien. Quelque chose compréhensible,
lorsqu'en vivant en société, c'est ça, qui a produit que nous soyons ce
que nous sommes, ce qui, nous conditionne à donner du fruit de l'arbre
que l'on a fait des renseignements-là ; ne faites pas contraster
proportionnalités, la valeur n'est pas une question de volume, la
question, c'est apporter.
Quoique ma sagesse n'ait rien à voir avec celle de personnages comme le
nommé Baudelaire, j’ai seulement celle-là de les aimer, je veux moi
aussi mettre une perle qui m'est venue de la bouche d'un ami, qui, il
avait simultanément un autre que toutefois qu'il regardait un film
pornographique ne décollait pas ses yeux de l'écran jusqu'au tel film
eusse fini ; il voulait, me dit mon ami (sans se décoller, lui aussi,
d'un ironique sourire) voir le désarroi final de ces films-là. La déduction, j'en préfère vous la laisser faire à votre aise.
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