mardi 17 mars 2015

UNE HISTOIRE ASSEZ PARANORMAL

    J'étais une fois, dans un bar du vieux Paris, en sérieuse compagnie d'autres usagers, les coudes tirant lustre au comptoir, les jambes croisées, en faisant l'un l'autre chacun à son style… une bande de penseurs faisant tous à l'unisson en cela de ne pas gêner personne. La paix a eu une courte trêve, la pauvre fut soudainement perturbée avec les adjectivations d'un spontané : Incroyable ! Effroyable ! Inimaginable ! Déconcertant ! Surprenant. Jusqu'à, tout fait sembler, ses ressources adjectivales, se sont épuisés, donc après révéler ce qu'il vient découvrir telle chose méritoire de tant d'adjectivations, raconte son imprédictible expérience.
 

   
Un couple chrétiennement marié, son fils et la petite amie de celui-ci, tous au chômage, s'en firent procurer logement dans une petite maison, il y a longtemps abandonné. Tout commence, poursuit l'animateur parapsychologie, la première nuit, ce qui s'est passe-t-il n'y a pas longtemps ; la veille d'aujourd'hui pour être précis. Cette nuit-là tous les quatre, en étant déjà dans leur nouvelle demeure, ont senti, d'abord odeurs à vomitos, pour à la suite des pas par la maison dont ils étaient les seuls habitants. La chose ne s'arrêta pas là, puis quand l'épouse et mère, pas toujours chrétiennement belle-mère, s'en va-t-elle de matinée faire les courses, au se trouver dans le vestibule de la maison un chien, là pas toujours belle-mère le lui dit —que fais-tu ici ? Le répondant le chien à la susdite en humaine voix —Ah non. C'est moi que je dois demander ce que tu fais par ici…
 

   
De ce que personne n'en doute, c'est de douter
de l'excès de parapsychologie sur le sujet, que la bande de penseurs a, desquels l'un en faisant quitter l'un des coudes de sa place, se tourne-t-il en vue de refréner les excès de la psychologie, mais ce que tu parles. De quelques fous quoi ? Ou est-ce que le fou est toi ? Ou est-ce que tu nous y prends ? L’occultiste intente se défendre du tir de demandes en disant -il me fera plaisir démontrer que je ne dis pas de conneries ; et voilà. Précisément, les acteurs dans l'affaire viennent d'entrer dans l’établissement tout juste, vous verrez. Ce que la bande de penseurs voit n'est que de vieux connus à qui le patron, sans qu'aucun de ceux-ci rien commande, les sert une bouteille de pastis, quatre verres, un pichet d'eau et un bol. Donc la petite amie du fils du ménage verse l'eau dans le bol, lequel elle met sous table pour que le chien qui vient avec eux boive… il a aussi le droit à d'y faire.

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