mardi 3 mars 2015

SURVIVANTS ET MORTS VIVANTS DE TOUTE UNE ÉPOQUE

    Quand on fréquente davantage les pharmacies que les bars (bon !, c'est une manière de le dire). Quand pour rendre visite aux amis, on doit de plus en plus l'en faire dans l'hôpital, où l'on va, lui tout seul ou en joyeuse camaraderie, d'autres en panne, chez le médecin. Lorsqu'on rencontre les vieux camarades dans les enterrements, d'autres…

   
 
    Arrêtez de vous déprimer : pourquoi il en était de ces faits-là, au contraire ! Vous déviez de vous sentir contents, d'être l'un des survivants de toute une époque.

    Pourtant, lorsqu'on ne va ni aux pharmacies ni aux bars (surtout concernant à ceux-ci ; ce qui n'est pas une façon de dire). Dès qu'on manque d'amis, parce que, en autre, jamais l'on ne les a eus ; dans ce cas, j'excuse de dire ce de se faire accompagner, qui ne soit pas par la police. Quand on ne va pas à un enterrement autre que le sien ?

 
 
    Dès que les choses se passent de cette manière, on doit se mettre à réfléchir si sa vie a valu la peine ; mais la réflexion va uniquement le dire qu'il a mené la vie d'un rien… trop tard.

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