lundi 20 octobre 2014

SONT PAS LES POUR PARLER QUI FONT DU MAL

      Dans les pays du nord, l’agora, le climat oblige, se trouve dans les bars ; c'est pour ça que les abstèmes ont peu de change à apprendre. Moi, qui je ne suis personne persévérante en le concernant à l’apprentissage, m'en trouvant comme d'habitude dans une agora, dont, par là au fond du comptoir, un homme exprimait pour tout lequel qui voulût lui prêter l'oreille, ce que j'ai fait volontiers depuis qu'il a commencé le discours.
 

    On se voyait qu'il était fort connaisseur autant sur les bipèdes plumes que sur les déplumés. Des premiers qu'il s'est servi pour faciliter l'entendement sur la manière de faire des autres, soit de nous, il s’expliqua ainsi : le coq en sortant chez lui, picote par ici, picote par là, mais il y retourne toujours ; pourtant la poule, toutefois qu'elle sort de chez elle picoter, elle ne retourne jamais.
 
   
    Raisonnement qui m'a fait sourire, et comme par là il n'y avait plus oreille à lui que la mienne, quelqu'une en me voyant sourire, me demande pourquoi je l'en faisais, à sa demande, moi gentiment l'expose cela que l'exposant vient d'exposer… pauvre de moi ce que j'ai fait pour mériter tant d'injures de celle-ci, et de tout le poulailler, dont on participa jusqu'à quelques coqs (ce sera pour faire des mérites) ce qu'en autre, personne, y parmi, a écouté au maître, ni ce que j'ai de lui transmis de lui.
 

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