Il était une fois un chien qui faisait ombre sur les vitres d'une des grandes fenêtres du grand salon de la grande maison de son maître. À travers de ces vitres, ses yeux regardaient la rue. De son côté, son ombre se faisait voir
Ombre, qui, à cause de son haleine, faisait voiler, dont ses petits yeux brillaient d'un air narquois, se recréant sur un chien libre, qui librement bravait l’intempérie, remuant sa queue. Cela que le badaud ne comprenait pas, à ne pas s'être maîtrisé, de lui contenter.
Épuisé
par le temps, son maître, dont ses héritiers n'en étaient pas trop
amants des chiens, dépouillent leur locataire de son ombre. Dans la
vie, il faut se la procurer. L'autre fois, hautain chien ne fit plus
remuer sa queue ; il suit sans comprendre encore pourquoi les chiens
sans maître l'en fassent si volontiers.
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