mardi 27 août 2013

LE COLONEL ET L'OUVRIER

    Un colonel est un colonel, dès qu'il y en est arrivé, place qui lui donne une trêve à ses rêves, pour se faire gonfler de sa charge. C'est donc, mise la pression en juste titre, que le colonel les en mettra sur le généralat. D'un mec comme ça, de qui se poudrait dire que : si dans son illustre carrière, abstraction de ce qu'il y a fait durant, il aurait empaqueté un kilo de sucre. Il y aurait fait quelque chose d'utile.
 
   
    Pourtant, un ouvrier n'est qu'une personne qui travaille, laquelle en son état psychique normal le seul rêve qu'il y a, c'est de ne pas travailler plus, même tenant en conte qu'il ne fabrique que des choses d'utilité, exception faite, quand la cohorte de ceux-là l'en font fabriquer des armements, qu'il doit utiliser lui-même après, ou bien articles somptuaires qu'il ne va jamais utiliser, ce n’est pas lui coupable de faire des conneries.
 
    
    Alors ! Pourquoi un ouvrier fait des conneries ? Voyons : la différence entre ces deux types de citoyens, que pas concitoyens, est que le colonel fait part avec, en autre dès siens en tous les différents échelons, des forces répressives autres, politiciens, spéculateurs de tout type, personnages du ne rien faire qui se vendent en intellos, écolos, artistes et quelque chose comme ça, psychologues et journalistes fidèles à n'importe quels soient leurs payeurs et tout type de maîtres du fer mal vivre aux plus faibles ; sans s'oublier de la grande patronne : l'église en toute sa diversité.
     Pauvre ouvrier, il est tout seul !
   Imaginez-vous par un instant, que les choses se renversent, non dans le changement du pouvoir, que ça serait autant de même, sinon dans la question du travail, en travaillant une heure chacun, chaque jour, il n'aurait plus de faim. Cependant, il n'aurait que réviser la journée de travail, en vue de la réduire pour réduire aussi la surabondance de production, c'est-à-dire le stockage.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire