L'air
marin, de l'été, y vient, quand il souffle sur terre, imprégné
des odeurs des différentes graisses. Les personnes, et surtout des
femmes, s'aident, dans les plages, à se rôtir au feu solaire en s'allongeant sur l'arène réfractaire.
Y parmi les personnes, ceux-là de bon sens, notamment des hommes, troublés par leurs papilles gustatives, dont la perception olfactive a fait écœurer, pour beaucoup, que les yeux aient accru la gourmandise. Ils partent à la montagne, là où les airs traînent des odeurs du cru. Ces réfugiés, assis sous la treille d'un bar, prêtent leurs yeux aux grappes vertes, goûtant le jus desquelles il y a longtemps ont mûri.
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