L'air
marin, de l'été, y vient, quand il souffle sur terre, imprégné
des odeurs des différentes graisses les gens avec, et surtout des
femmes, s'aident, dans les plages, à se rôtir au feu solaire, en s'allongeant sur l'arène réfractaire.
Y
parmi les gens, celles-là de bon sens, notamment des hommes, troublés
leurs papilles gustatives, dont la perception olfactive a fait
écœurer, pour beaucoup que les yeux aient accru la gourmandise, ils
partent à la montagne, là où les airs ne traînent que des odeurs
du cru, dont ces réfugiés, assis sous la treille d'un bar,
prêtent leurs yeux aux grappes vertes, goûtant le jus desquelles il
y a longtemps ont mûri.
Ces
patients hommes-ci se font impatients, cause des airs appétissants
qu'y viennent du fond, de la cuisine, comme aussi de femme, des
femmes qui par là pullulent… mais ils restent, impassible
l'attitude, comme il faut, à être servis.
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