dimanche 25 août 2013

TOURNER LE DOS AUX ÉCLATS

    Il se peut bien mieux regarder au loin, tournant le dos au soleil, que l'en faisant face.
 
   
    Ni le moindre ni, l'excès, si c'est que le moindre existe dans tout cela qui est excès, d'un exubérant éclat qui ne s'est montré jamais, la chaîne de travailleurs qui sous pénurie ; puisque pénurie est ce de bâtir la somptuosité, travaillant sans pain (le saucisson n'est plus éclatant que le pain, peut-être pour ça les travailleurs ne l'en ont non plus).
 
   
    Pourtant, en tournant le dos aux éclats, d'abord il s'éclairera l'espace que l'on aura en face depuis lors, de manière qu'on le pût regarder en long et en largue tellement il est. En autre, méprisant le méprisable, jusque de se battre en luttes anodines, celles-ci qui deviendraient dangereuses, puisqu'il aurait besoin d'utiliser les armes que les marchands de faux éclats vendraient aux révoltés… donc, à nouveau, tous lesquels se tiendront en libérés, sans pain ni saucisson.

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