Tous
les animaux, qui savent, savent bien, que tout lequel qui s'est allé
vivre dans la forêt, érigée en béton au sol carrelé, où
habitant les bipèdes sans plumes, ce qui entraîne à se soumettre,
dès aux caprices du bipède qu'on l'en ait touché de maître, ou
bien faisant d'animal de somme ou à n'importe quel autre service
auquel on puisse se prêter (tous à tout devoir, aucun droit) ou
pourquoi pas être servi sur un plat, ou dans une assiette, depuis
d'avoir été cuisiné selon le goût du gourmand duquel il n'est
presque arrivé, ni à être esclave.
La question est qu'un après-midi (ils étaient les 2 h 37 m.) un intrépide jeune renard, appelé Richard-André, « Richard » pour les intimes, il est comparable à un jeune humain que n'en servant à
rien se sert des coudes pour faire carrière politique, et, tenant en
compte que pour y faire parmi les siens Richard, il faut attendre la
sagesse que seulement peut apporter l'âge, pour se faire détacher
de ses jeunes camarades, il fait pari qu'il ira chez les humains, les
taquinera, retournera chez les siens, traînant un de ses spécimens du
cou (du cou de l'humain, qui après tous sont malentendus).
Le
temps s'est passé, et ni Richard-André a retourné jamais, ni
animal de par là il a sur plus de lui. Jusqu'à un matin d'hiver qu'une
meute d’humains bougeait par la forêt, sinon celle-là dont ils habitaient, celle-ci d'eux aussi. Tout le monde-là surveillait à distance les autant ridicules que dangereux bipèdes y faire exercice de l'un et de l'autre ; quand l'un des anciennes camarades de Richard-André les dit à ceux-là : eh voilà Richard où est-il, embrasse au cou de ce bête-là.
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