mardi 2 juillet 2013

LES TAUREAUX, LES COQS, ET NOUS

    Les taureaux portent, fiers d'elles, leurs défenses sur leurs têtes, pour les montrer, ils préfèrent dissuader les concurrentes à se battre, si est-ce qu'ils se dissuadent, de laisser les uns les autres, son empreinte, à travers de femelle disposée à engendrer, ce qui n'est pas de l'amour : la vie est comme ça. 
 

    Les coqs, qui sont aux pieds où ont fait développer les siennes, les montrent de son gracieux marcher, s'en servent-ils des ailes pour se faire sembler
plus grands, et s'exposer sur un haut, pour mieux montrer leurs ergots, au même but destinés que les cornes ces quadruples-là, non ailés, la vie pense à tous, jusqu'à nous qui marchons sur terre.
 
    
    Les humains (uns autres parmi les animaux, chef-d’œuvre tous de la vie, qu'elle a créé pour se donner de l'autonomie) inventeurs de la guerre entre nous, pour les gagnants, selon rang, choisir parmi des femmes, pour faire d'elles propriété. Propriétaires ceux-ci qui, généreux sans le vouloir, laissent pour ceux-là qui n'ont pas fait l'imbécile, la faculté de rigoler des cocus, celle-ci juste rente à payer à qui a de la propriété, comme aussi de les éperonner, et de faire l'amour, ce qui fait rire lui aussi, et en plus y profitent ces femmes-là pour orner les têtes de leurs mariés.

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