Ce
qui semblait un amical échange de mots entre le patron du bar et un
habitué. Ce s'est tourné soudainement en une étrange action du plus
violent, du côté du client, dont celui-ci qui fut tellement
méprisé, outragé, dénigré qu'il s'est transformé en un événement tel
qu'un tigre enragé. Alors, il
crache tout type des plus recherchées aspérités. Pour à la fin, avant de
s'en aller, furieux, faire rugir le sentir d'un mortel :
Si dieu te fait bien marcher les affaires, dis-le-toi, qu'il vienne
te boire tes potions ; cet abstème emmerdeur.
Le
patron, ses yeux hors d’orbite, ne donnait aucun crédit à ce
débordement de la situation. Comme non plus aux pacifiés, lesquels y
étaient, aux potions de l'alchimiste, c'est à ce moment-là que tout cela s'est
passé. Ce tout qui s'est fait compréhensible, à la suite que le
stupéfait patron, ouvrant ses bras, exprime, à sa demande de comment
marchent les choses ici, en ce qu'au bar concerne, je lui dis « bien, grâce à dieu ».
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