La plupart des Bonobos survivent aujourd'hui le pas de l'humanité, en étant sous-loués dans la réserve "Lola" laquelle occupe un petit espace dans l'espace dont les humains, race prodigieuse prodigieusement insolente, nous avons approprié, l'en appelant « République Démocratique du Congo » après quoi, jamais eut été cela qui fut ; les ronflants titres de République et Démocratique n'en ont été qu'une mascarade, laquelle ne trompe qu'à ceux-là qui se laissent tromper : le Congo n'est que terrain à spolier pour l'apatride capital spéculatif.
Eh bien ! À ce que j'étais qui n'est d'autre chose que les Bonobos ; qui sont de moment à sauf, dans cette réserve, crée de la main de Claudine André, ce qui n'évite qu'ils puissent être observés, par un couple de studieux venus d'une université USA, lesquels ont appris que : les Bonobos partagent nourriture de façon conviviale, pas sans étonnement, partent-ils de l'hypothèse, selon laquelle, seulement les humains étaient les seuls à pareille aptitude « en utilisant les interrelations amicales ou les normes sociales » affirment nos sages congénères studieux, et je me demande : pourquoi ne pas dire affaires en même temps d'amicales ; peut-être ces studieux devraient étudier un peu plus aux humains.
Autre
chose qui a attiré l'attention aux mêmes studieux des Bonobos est
qu'ils forniquent tous les quatre-vint-dix minutes ; ce qui n'est
qu'un phénomène de réconciliation, qu'un autre studieux, cette
fois un primatologue Néerlandais, avait déjà constaté, celui-ci qui, en étant plus âge que
les autres deux, on peut déduire, qu'il ait participé au Mai
68 avec le slogan « faites l'amour pas la guerre ».
Bref ;
ce que m'a étonné le plus des deux studieux au-dessus cités, n'est
que la manie, tant à la mode aujourd'hui de tout « statistiquer »
moi au moins pour parler des rapports avérés aux Bonobos l’entent
plus poli dire qu'ils forniquent « un peu plus que moi »
Mes
respects les plus sincères à Claudine André et toute l'équipe.
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