Rondel
cultivait le plus beau jardin des plus belles fleurs peuplées, que
personne ne puisse imaginer. Rondel se levait à l'aube, quand les
gouttes abandonnées des rosées fleuraient dans les fleurs, y
persistant, telles que diamants, qui s’évanouissaient devant la
beauté de leurs porteuses sans auparavant laisser quelques
gouttes de mouiller les mains soigneuses du jardinier, qui tandis que caressaient les fleurs rafraîchissait ses joues.
Quand
la douceur de la matinée envahissait le tout, le tout s'envahissait
d'oiseaux, ce qui ne faisait rien faire Rondel que sentir flore et faune, et voir les fleurs et sur elles les dessins façonnés par
abeilles et papillons, tout cela qui au long de la journée
s'accentuait jusqu'à arrivant la tombée du jour, dont l’empire du
parfum des fleurs régnait sur tout, énonçant le summum de telle
puisant Altesse des stridents chanter des grillons.
La
nuit tombe, la paix se fait noctambule et une chouette fait savoir
qu'il y a vie… Ah ! J’oubliais, pour faire Rondel le petit
déjeuner, le déjeuner et même le dîner, il y allait chez son
voisin Marcel, homme rude qui cultivait les champs, le jardin potager
et engraissait des animaux.
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