vendredi 25 janvier 2013

L'HOMME RUDE ET LE DÉLICAT

    Rondel cultivait le plus beau jardin des plus belles fleurs peuplées, que personne ne puisse imaginer. Rondel se levait à l'aube, quand les gouttes abandonnées des rosées fleuraient dans les fleurs, y persistant, telles que diamants, qui s’évanouissaient devant la beauté de leurs porteuses sans auparavant laisser quelques gouttes de mouiller les mains soigneuses du jardinier, qui tandis que caressaient les fleurs rafraîchissait ses joues.
     
    
    Quand la douceur de la matinée envahissait le tout, le tout s'envahissait d'oiseaux, ce qui ne faisait rien faire Rondel que sentir flore et faune, et voir  les fleurs et sur elles les dessins façonnés par abeilles et papillons, tout cela qui au long de la journée s'accentuait jusqu'à arrivant la tombée du jour, dont l’empire du parfum des fleurs régnait sur tout, énonçant le summum de telle puisant Altesse des stridents chanter des grillons. 
 
    
    La nuit tombe, la paix se fait noctambule et une chouette fait savoir qu'il y a vie… Ah ! J’oubliais, pour faire Rondel le petit déjeuner, le déjeuner et même le dîner, il y allait chez son voisin Marcel, homme rude qui cultivait les champs, le jardin potager et engraissait des animaux. 

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