vendredi 11 janvier 2013

UN DIEU PLEURNICHEUR ET UN AUTRE PISSEUR

    Selon Laszlo Passuth, quelquefois « le dieu de la pluie a pleuré sur le Mexique » ce qui veut dire, que là, traversant la mare aux harengs, au moins il y avait parmi les dieux, un qui pour ne pas applaudir, pleurait, les actes des criminels du peuple, ceux-là qui ont fait bons, aux, pas pour cela excusables, un peu moins criminels (quelque chose, en autre, pas compliqué puisque tout semble le degré en telle qualité, était déjà insurpassable) envahisseurs, porteurs avec eux, d'un dieu d'importation à eux-mêmes, c'est-à-dire : à nos ancêtres imposé, du même qu'à nous l'intentant de façon irréfutable, comme correspond à n'importe quel dogme, dont personne ne peut l'en soumettre à réflexion aucune, comme il faut.
     
     
    Eh bien ! À où je voulais arriver ; maintenant étant moi en la Galice, je peux assurer que ce dieu-là (l'impitoyable, celui-là d’importation à nous, bien sûr beaucoup plus impoli que le pieux pleurnicheur du Mexique) par ici il doit de pisser tel qu'un buveur impénitent de bière au se réveiller au lendemain de la vielle de ce qu'il entend par fête, puisque dans le temps d'un en aller et y venir, traversant la rue, là où il y a une boulangerie, pour acheter une baguette, je suis rentré d'où j'ai sorti, trempé comme une poule qui vient de faire un bouillon et la baguette, la pauvre, transformée en un baba, qui bien arrosée d'un généreux sirop au rhum, comme correspondrait à un buveur, aussi impénitent lui, du caribéen, elle l'en a été des pisses de dieu, bien entendu.

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