jeudi 17 janvier 2013

MADAME GALERNE

    Si en côtoyant les bords d'Europe on voit crocodiles doués d'ailes, même qu'ils y semblent débarquer, il n'en faut se soucier, parce qu'ils ne sont pas crocodiles, ils sont « crocoadilisés » ce qu'il faut, c'est passer comme si de rien n'était, puisqu'ils ne sont qu'une illusion ; or, si l'on voit émerger d’eaux un tracteur en maillot de bain, donc, il faut prêter attention, ça y sera, bien sûr, la Merkel, cuisinant, peut-être, un nouvel propos, là, où elle devrait avoir le cerveau.
 
    
    Cet exemplaire, qui si bien n'est pas doué d'ailes, si l'en est d'un pouvoir disproportionné à son intelligente, laquelle qui ne sachant pas expliquer aux soumis à ses dictés, autant gros idiots que gros ventrus, tels que Madame j'ordonne qui papillonne par la péninsule de l'ouest de l'Europe, marchant si perdue qu'un poulpe dans un garage, qui lorsque n'avait assez avec une équipe gouvernementale, dont leurs ventres les consomment toute leur irrigation sanguine possible, ceux-ci qui s'équipent à leur tour de conseillers, subdélégués, secrétaires, tous pourvus de voitures officiels, gros salaires et pas moins grosses indemnités ; gaspillant ressources publiques, subventionnant médias, partis politiques, syndicats aussi comme organisations mystérieuses ; maires, dont les budgets ne sont assez à soutenir sa propre administration, administrations autres de l’État doublées par d'autres de convenance décernées parmi cette même caste politique, famélique d'argent ; retraites disproportionnées, entreprises qui ne paient impôts, destinant leurs gains à la spéculation,  concessions arbitraires pour paralléliser services existantes dans l'État, privatisations im-pri-va-ti-sa-bles…
 
    
    Vous Madame Galerne, vous ne savez pas expliquer, que réduire dépenses publiques, gaspillages, cela n'est pas sur une classe travailleuse déjà appauvrie jusqu'aux limites les plus insupportables. Repoussez-vous, Madame Galerne, parmi les vôtres, votre bande partisane, plus que citoyenne, armée salvatrice, mais taisez-vous la gueule ! Pas tous, nous appartenons à votre armée, hors de votre armée, partout, bien sûr même en Allemagne, il n'y a personne qui veut être ça, personne.   

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