À la branche d'un arbre était accrochée une pomme, où elle avait pris la vie, et dés où elle sentait l'univers qui l’entourait et duquel elle s'en savait le noyau.
D'une pomme voisine s'était fait hôte un ver, qui graduellement l'en alla rongeant y compris les organes reproducteurs ; une autre qui avait muri prématurément, un oiseau la picotait impitoyablement (les organes reproducteurs inclus) maintenant, la pomme du début suivait avec son régime contemplatif.
Le temps est arrivé, les feuilles commencent déployer la danse qui les amène au sol, tout quand, le vent ne les prolonge leur valet par les prairies ; ce temps est le même qui marque aussi la newtonienne chute des fruits aussi… alors, on s'écoute : la vache ! et la pomme tombe par terre, donc, une vache qui arrive, et d'un ouvrir et fermer de bouche, la pomme disparaître du paysage pour s'en aller couler par l'apparat digestif de la bête.
De la pomme seulement vont survivre les organes reproducteurs, mais, attention ! Il y a d'autres, d'autres plantes : la lutte pour survivre dans la boue, bien sûr qu'elle va être épuisante.
Cher élève, Le Bon Usage produit, paraît-il, de terribles dégâts dans l'expression de la langue... Heureusement les contenus sont libres de cette terrible influence
RépondreSupprimerRegardes-tu parfois ton courriel?
Je vais parler de la carotte.
RépondreSupprimerGrande résultat. Je ne sais pas si c'est de fruits.
Je pense que le produit du jardin dit, ne sert qu'à lier le bout d'un bâton.
Ensuite, je mettrais avant les bêtes, et courir.
Les bêtes ne sont que les bêtes sont plus l'histoire, plus on s'éloigne de la carotte.
La carotte sera le produit du jardin, mais ce produit sont les bêtes?
Connaissez-vous une bête?
Chaffois.