vendredi 11 février 2011

UNE QUESTION DE DIMENSIONS

    Je ne sais pas si les puces soupirent, du même que si les éléphants l'en font aussi ; de-là que, le plus probable, est que, ni les puces sentent les soupirs des éléphants, autant que ceux-ci ne sentent pas les soupirs des puces ; peut-être qu'il soit à cause, de que les unes et les autres vivent dans différentes dimensions. C'est à partir d'ici que l'on me fait apercevoir de la difficulté de qu'un éléphant tué une puce comme qu'une puce tue un éléphant. La grandeur et la petitesse entraînent aussi de la difficulté de s'apercevoir dès chacun de tous les deux points de vue.
     Toutefois, l'impossibilité, matérielle, qu'un éléphant ait de se nourrir d'une puce n'a rien à voir de cela qu'il ait une puce, et pourquoi pas milliers d'elles, de l'en faire toutes ensemble d'un éléphant.

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