lundi 7 février 2011

EN PERDANT L'ANIMALITÉ SE PERD L'HUMANISME

    L'humanité en se dérobant de leur animalité a foutu la société, dont elle vivait en telle condition et en leurs différents styles de vie selon les conditions climatiques surtout, dès qu'elle a inventé dieu ; de cela que je suis convaincu, c'est que l'humain ne l'a pas inventé pour besoin d'autre chose que se dissimuler les uns des autres de que dieu est lui, c'est-à-dire : chacun de nous. Delà y vient, qu'il eût eu jadis tant de dieux adaptés, chacun d'eux à toutes les personnalités humaines, jusqu'à l'arrivée de la globalisation qui a été écartant au fur et à mesure que le temps s'est passé, la plupart des dieux, notamment les plus anciennes, occupant leur place ceux-ci plus modernes, plus ennuyeux, plus antipathiques et en plus d'impitoyables, les hommes sont, aussi, comme ça ; l'homme riche se croie dieu sur la terre, de façon qu'il s'oublie qu'il va mourir ; l'homme avare convoite aussi la richesse, il s'est aussi oublié d'être homme...  et de qu'il n'est pas dieu. L'homme médiocre, sans savoir pourquoi, sert à dieu, sert aux riches et paie des intérêts aux avares ; l'homme pieux est, peut-être, le plus méchant parmi tous, il attend la mort de tous les autres parce qu'il croit fermement que ceux-ci, tous vont aller à l’enfer pour être lui et seul lui, qui va arriver chez dieu (je ne sais pas s'il pense en l'être) maintenant tous les autres vont brûler éternellement là-bas ; là-haut, chauffage ne lui va fauter.
    C'est compliqué étant humain, sans dieu, sans patrie, sans roi, vivre parmi de cette faune.

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