Je
préfère ne pas parler des époques dont je n'ai pas vécu. Ce n'est pas
parce que je me méfie de l'histoire officielle, absolument pas. C'est tout
simplement, car je ne suis pas en conditions de croire sur tout cela,
que l'on dise ou que l'on dît, les chroniqueurs salariés, des acteurs
principaux, de celle-là.
Alors que, j'aime bien parler des années vécues, comme aussi de
ce moment-même dont j'y suis. De ce temps maintenant, j'y suis et pendant
lequel j'y étais vivant, je n'ai pas besoin que personne ne me raconte des
histoires fantastiques. La réalité de l'histoire s'en peut bien déduire
en regardant ce que nous sommes et ce que nous entoure.
Pourtant, dans cette réalité dont j'ai été en train de vivre et dont
j'ai vu dès toujours et au fur et à mesure que le temps est passé. On
venait avec une constante augmentation d'un brouillard qui a été voilant des valeurs
comme l'honnêteté ou l'intérêt pour la culture, qui se furent dissipées
dans celui-là. Comme on le pourrait, l'en avoir fait disparaître, un
subi orage accompagné de vent et de pluie. Cet orage n'a pas éclaté avec
la force suffisante, peut-être, seulement s'est écouté le tonnerre.
Toutefois, cela que je voyais antan, en timide forme : « le bénéfice »
qui progressivement a pris manières de géant, jusqu'à se positionner
au-dessus de tout ; le bénéfice est devenu le bout, il est l'unique fin
qui a l'humanité, d'où tout cela qui ne produit pas de bénéfice ne sert à
rien ; en restant sans valeur la vie même, évidemment, si elle ne
produit pas.
Tout ça fait à peine me faire réfléchir, sûr si c'est que les humains
sommes animaux libres ou animaux d'engrais ; donné ce dernier cas,
j'aimerais bien savoir à qui appartenons-nous.
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