samedi 5 février 2011

PERTURBER LES MOTS

    Au fur et à mesure le temps passe, il y a plus de maltraitantes de ce qu'il est le sens de la Démocratie, que personne l'en doute ; pourtant, que cela y vienne du ministre d'un pays (celui à qui, on doit le tenir pour personne cultivée) tirant le mot démocratie, hors de contexte, en le banalisant, cela aggrave la question.
La ministre espagnole Trinidad Jimenez, récemment, a demandé au règne Alaoui de réformes démocratiques… ? ...
    D'abord, madame la ministre : la Démocratie ne sont pas de pommes dont on peut acheter une qu'autre quantité de kilos, la démocratie est démocratie ou elle ne l'en est pas ; ensuite, madame la ministre, la monarchie comme l'aristocratie, le fascisme, la dictature ou le totalitarisme, est un antonyme de Démocratie et le Maroc à l’égal que son pays, comme tant d'autres, cependant, ils sont monarchies. Consultez-vous madame la ministre le dictionnaire.
    Il convient de ne pas permettre aux politiciens faire ça qu'ils veulent des idiomes. Ainsi en les perturbant, ils vont détruire leur grammaire, ce qui est le bien-être de la communication et de la philosophie. La philosophie, madame la ministre, est favorisée par la connaissance transmise par l'écriture. C'est pour ça qu'en changeant la signification des mots, il sera détruit les sources du pensé, et sans sources, il n'y aurait pas de fleuves.
Démocratie, madame la ministre, est quelque chose que vous les politiciens ne soyez point, en tout cas vous soyez une espèce de vaches qui vous nourrissez de la plus-value du peuple.

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