Le
moindre soupçon sur l'avis de que n'importe quel humain pût être une
bonne personne va-t-il, probablement, l'en faire plus méchant de cela
que sa conjoncture comme telle personne l'accrédite.
Les
faits sont les faits : l'humain n'est pas le plus grand
déprédateur dans son entourage. Sinon, s'il l'est, nous sommes, en plus,
le plus notable auto-déprédateur… au profit de quoi ? Qui le sait !
La
question est qu'en défendant notre perverse malveillance, en la
justifiant, par le fait des traumatismes qu'on a subis, au fur et à mesure du
parcours de notre existence par la société, à cela que nous appartenons ;
avec ça. Nous ne l'en faisons aucune faveur, ni non plus à nous-mêmes
comme individus, en dissimulant notre pourriture, parce que cela n'est
pas la manière d'assainir notre société de cette plaie. Peut-être, que
la mieux façon de l'en faire soit avec une démocratie pure, évidemment
sans le bizarre ensemble de politiciens, militaires et policiers
professionnels, du même que sans tricheurs de la justice (avocats)
psychologues conte contes, économistes au service des spéculateurs,
pseudo-intellectuels propriétaires, qu'ils se croient, de la
connaissance. C'est-à-dire : des uns et des autres qui y sortent de tous
les coins pour nommer utopie à tout cela qui ne soit pas de leur
convenance ; par exemple, à une vraie République, soutenue par un système
judiciaire impersonnel, irrationnel quand même et inflexible, pour le
développer librement. La justice ne se doit pas laisser au hasard, la
justice n'est pas le jeu de l'oie. Comme non plus le problème des
problèmes individuels de personne doivent se mettre au-dessous de
l'intérêt commun, parce que cela soumettrait aussi à n'importe quel
autre jeu le destin de la société.
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