jeudi 10 février 2011

LA JUSTICE SOCIALE EST QUELQUE CHOSE DURE

     La moindre soupçon sur l'avis de que n'importe quel humain pût être une bonne personne, va-t-il, probablement, l'en faire plus méchant de cela que sa conjoncture comme telle personne l'accrédite.
    Les faits sont les faits : l'humain n'est pas seulement le grand déprédateur dans son entourage, sinon qu'il est, nous sommes, en plus, le plus notable auto-déprédateur… au profit de quoi ?… Qui le sait !
    La question est qu'en défendant notre perverse malveillance en la justifiant, par le fait des traumas subis au fur et à mesure du parcours de notre existence par la société à cela que nous appartenons ; avec ça. Nous ne l'en faisons aucune faveur, ni non plus à nous-mêmes comme individus, en dissimulant notre pourriture, parce que cela n'est pas la manière d'assainir notre société de cette plaie. Peut-être, que la mieux façon de l'en faire soit avec une démocratie pure, évidemment sans le bizarre ensemble de politiciens, militaires et policiers professionnels, du même que sans tricheurs de la justice (avocats) psychologues conte contes, économistes au service des spéculateurs, pseudo-intellectuels propriétaires, qu'ils se croient, de la connaissance. C'est-à-dire : des uns et des autres qui y sortent de tous les coins pour nommer utopie à tout cela qui ne soit pas de leur convenance ; par exemple, à une vraie République soutenue sur un système judiciaire impersonnel, irrationnel quand même et inflexible, pour le développer librement. La justice ne se le doit pas laisser au hasard, la justice n'est pas le jeu de l'oie, comme non plus le problème des problèmes individuels de personne doivent se mettre au-dessous de l'intérêt commun, parce que cela soumettrait aussi à n'importe quel autre jeu le destin de la société.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire