L'ours, après être détrôné (sans qu'il, en autre, jamais eût su
d'avoir été roi) par l'église d'importation chez nous, en
couronnant à sa place le lion. Détrônement devenu à
cause de sa ressemblance aux dieux en place, voire aux bipèdes sans
plumes et sans cornes. Ce dont personne de bon sens ne doutera, comme personne n'en
doute, qu'au plantigrade, républicain, il ne lui ait pas causé aucun traumatisme.
Bon ! Quoi qu'il en soit. Suite au limogeage du roi qui ne l'était pas. Les inquisiteurs et leurs acolytes n'ont pas laissé d’inquiéter le si calme que respectueux, aussi que le bien élevé plantigrade. Ainsi, il s'en est allé dans l'énorme sanctuaire qu'il y avait… Qu'il y ait encore, hors du terroir, de ceux-là, dont il attendait de n'être pas gêné de personne, mais non, il rêvait, même là, ces furibonds allèrent le taquiner.
Dans ces terres-là, par tous lesquels y étaient partagés, dont personne ne gênait personne, soit quelques amants de la bonne table qui l'en faisaient, soit lesquels l'en étaient destinés. Plaisir partagé par l'ours, comme que commensal, comme de bien se reposer après, jusqu'à ce que le dérangeaient ces morpions. L'ours patiemment s’amusait avec les bestioles ; mais la somnolence pique elle aussi… et fort !
Je ne comprends pas cet article, je l'ai trouvé très difficile.
RépondreSupprimerSalutations.