vendredi 8 janvier 2016

DU LIT AU POT

    Jour le jour, on se réveille, on se lève, on s'habille, on sort de chez-soi ; dont il y aura toujours quelques-uns, qui quelques fois entre n'importe quel acte et autre, soit en catimini, soit à la débauche, on se lave.
 

 
  Dans la rue. Dans le bar du coin (s'il n'y a pas bar, dans le coin, dans le coin d'un bar qui ne se place pas au coin) on prend un petit café pour s'éveiller du tout. Durant l'attente à, que le susdit café ne brûle pas la langue au somnolent, celui-ci se fait brûler les yeux en lisant n'importe quel journal disposé à l'abrutissement de la clientèle, dont il peut apprendre que les élus, élus successivement. Ils sont comme toujours à casser les pieds de leurs électeurs.
 

    
L'électeur, quel qu'il soit, n'agit pas, n'existe qu'en état végétatif ; donc il ne se désespère ni réagir non plus, pour tout faire, il attend qu'on l'arrose : il n'est qu'une plante enracinée dans sa propre merde.

1 commentaire:

  1. No son vegetales, que son ZOMBIS. Que van con su papelito en la mano pensando que su voto es importante. El gran Negocio, de estos psicopatones del poder, se les acaba si la gente deja de votarles.
    Saludos!

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