Jour le jour, on se réveille, on se lève, on s'habille, on sort de chez-soi ; dont il y aura toujours quelques-uns, qui quelques fois,
entre n'importe quel acte et autre, soit en catimini, soit à la
débauche, on se lave.
Dans la rue. Dans le bar du coin (s'il n'y a pas bar, dans le coin,
dans le coin d'un bar qui ne se place pas au coin) on prend un petit
café pour s'éveiller du tout. Durant l'attente que le susdit
café ne brûle pas la langue au somnolent. Celui-ci se fait brûler
les yeux en lisant n'importe quel journal disposé à l'abrutissement
de la clientèle, dont il peut apprendre que les élus, élus
successivement. Ils sont comme toujours à casser les pieds de leurs
électeurs.
No son vegetales, que son ZOMBIS. Que van con su papelito en la mano pensando que su voto es importante. El gran Negocio, de estos psicopatones del poder, se les acaba si la gente deja de votarles.
RépondreSupprimerSaludos!