Un berger, qui voulait tout pour lui, avait fait surveiller les moutons par plus de chiens que de loups les maraudaient ; chiens que le berger nourrissait des restes des moutons qu'il disposait à soi. Les loups, en voyant décroître leur population à défaut de nourriture à eux, ont décidé de changer leurs habitudes alimentaires, s'en faisant les végétariens ; ce qui les a fait proliférer pareillement aux moutons, lesquels au ne pas avoir prédateurs autres que le cupide berger, qui aimait autant y en profiter de ce que voir croître son troupeau. Nouvelle habitude celle-là qui a fait proliférer les loups, qui pas uniquement ont perdu la force, sinon qu'elle s'est multipliée en proportion au nombre : comme pour se laisser perdre le terrain pris ! Ce qui a fait, à manque de nourriture, le troupeau amoindrir ; une chose qui ne se passe pas chez la meute de chiens, lesquels, à défaut des restes de leurs surveillés, ils se sont résignés à les manger tous.
… Qu'est-ce qu'elle, je me suis demandé moi-même tout seul, m'aura-t-elle voulu dire ?
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