La
jeune, belle, et délicate Cendrillon, morte sa mère, qui sinon
aussi jeune que si ravissante et délicate, mort son père, celui-ci
qui s'était remarié avec ce qui serait son fouet : à six mains !
compte tenu que sa belle-mère avait apporté en dot au mariage ses
deux filles, il ne faudra pas deviner qu'à faute de plus mortes chez
elle, la vie de Cendrillon fut complexe.
Les
deux belles-sœurs commandées par leur mère avaient soumis la
jeune, mignonne, aussi que délicate Cendrillon à leurs caprices ;
faisant à l'orpheline nettoyer par ici, nettoyer par là, nettoyer
somme toute partout ; aussi comme faire tous les ménages, courses et
d'autres tâches ménagères que les perfides inventaient, pour
abaisser le plus l'esprit de la pauvre, belle et délicate
Cendrillon.
Alors que,
au fur et à mesure que le temps se passe chez la jeune, superbe et
délicate Cendrillon, de tant nettoyer et tout faire. Contrairement à
ses bourreaux, qui de ne rien faire, elles sont devenues amorphes.
Néanmoins, à la jeune et superbe Cendrillon, le travail l'avait
fait moins délicate et plus forte. Ainsi, un jour, prise d'un
plombier syndicaliste ; lequel était venu à la maison réparer une
panne, la jeune, ravissante, et forte Cendrillon prend un sabot (elle
manquait de fins souliers) et casse la tête à sa belle-mère et à
ses amorphes filles les chassant à la suite de chez elle.
La
forte Cendrillon n'épouse aucun délicat prince, ni aucun autre
pareil, sinon le plombier… !
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