mardi 24 février 2015

LE SABOT EN BOIS À CENDRILLON

    La jeune, belle, et délicate Cendrillon, morte sa mère, qui sinon aussi jeune que si ravissante et délicate, mort son père, celui-ci qui s'était remarié avec ce qui serait son fouet : à six mains ! compte tenu que sa belle-mère avait apporté en dot au mariage ses deux filles, il ne faudra pas deviner qu'à faute de plus mortes chez elle, la vie de Cendrillon fut complexe.
 
 
    Les deux belles-sœurs commandées par leur mère avaient soumis la jeune, mignonne, aussi que délicate Cendrillon à leurs caprices ; faisant à l'orpheline nettoyer par ici, nettoyer par là, nettoyer somme toute partout ; aussi comme faire tous les ménages, courses et d'autres tâches ménagères que les perfides inventaient, pour abaisser le plus l'esprit de la pauvre, belle et délicate Cendrillon.
 

    Alors que, au fur et à mesure que le temps se passe chez la jeune, superbe et délicate Cendrillon, de tant nettoyer et tout faire. Contrairement à ses bourreaux, qui de ne rien faire, elles sont devenues amorphes. Néanmoins, à la jeune et superbe Cendrillon, le travail l'avait fait moins délicate et plus forte. Ainsi, un jour, prise d'un plombier syndicaliste ; lequel était venu à la maison réparer une panne, la jeune, ravissante, et forte Cendrillon prend un sabot (elle manquait de fins souliers) et casse la tête à sa belle-mère et à ses amorphes filles les chassant à la suite de chez elle.

    La forte Cendrillon n'épouse aucun délicat prince, ni aucun autre pareil, sinon le plombier… !

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