Le solitaire est un jeu dont il n'y a aucun concurrent que ne soit le joueur lui-même, ce qui n'est pas absolument amusant.
… il n’a pas soleil que sèche ce bois-là !
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
Le solitaire est un jeu dont il n'y a aucun concurrent que ne soit le joueur lui-même, ce qui n'est pas absolument amusant.
… il n’a pas soleil que sèche ce bois-là !
Les danseurs, n'en semblant pas d'être prêts à donner pour fini leur divertissement, font que le sien, qu'au debout était aussi celui de l'ours, devient au poilu quelque chose de gênant ; il se passe souvent qu'en chargeant trop la brouette, en plus de faire de la mal manier, parfois on le lui casse l'axe.
Assez, l'ours secoue puces et poux pour mettre fin à leur fête ; c'est à cela que la joyeuse mascarade répond, s'accrochant aux poils du plantigrade. Ainsi, comme si de rien n'était, il se baigne dans les eaux gelées, se plonge dans les plus profonds océans, monte sur les plus hautes montagnes. Tout cela, en plus de pour s'amuser, pour taquiner les intrus ; après, il se gratte à tous les ongles pour éliminer d'inopportuns casse-pieds.
Je vous propose maintenant de vous allonger sur le lit et, en fermant les yeux, de vous mettre à imaginer… mais non ! Vous ne pouvez pas auparavant boire du vin pour beaucoup, que ça vous aide à imaginer. Si bien, l’élixir va vous encourager de façon que l'expérience n’arrivera jamais à son but, puisqu'il faut se décrocher de tout esprit combatif. Imaginez-vous donc une araignée, soit-elle plus ou moins de votre envergure, à la place de celle-là qui s'est penchée chez vous. Eh bien, elle ne serait pas trop penchée, mais penchée quand même.
La mise en scène imaginée en état, suivons-y : vous face à face, le phénomène, rien avez à faire avec un balai ; cependant, c'est l'instant juste de tirer de la bouteille de vin, de laquelle je vous ai fait écarter, et de faire pour faire de l'amitié avec l'araignée en croisant quelques pots.
Alors que, au fur et à mesure que le temps se passe chez la jeune, superbe et délicate Cendrillon, de tant nettoyer et tout faire. Contrairement à ses bourreaux, qui de ne rien faire, elles sont devenues amorphes. Néanmoins, à la jeune et superbe Cendrillon, le travail l'avait fait moins délicate et plus forte. Ainsi, un jour, prise d'un plombier syndicaliste ; lequel était venu à la maison réparer une panne, la jeune, ravissante, et forte Cendrillon prend un sabot (elle manquait de fins souliers) et casse la tête à sa belle-mère et à ses amorphes filles les chassant à la suite de chez elle.
La forte Cendrillon n'épouse aucun délicat prince, ni aucun autre pareil, sinon le plombier… !
En versant mes détritus liquides, voie urinaire, dans la tasse de toilettes, cet acte mécanique, indispensable (honteux, j'ignore pourquoi, comme tout le monde se cache pour y faire et n'est pour ne pas éclabousser, ceci qu'on l'en ferait comprendre) auquel nous ne le donnons pas de l'importance par habituel ; mais cette fois m'a fait réfléchir de comme les temps ont changé.
Comme l'obnubilation est contagieuse, la Kalachnikov m'éveille d'une nouvelle rafale : que penses-tu ? J'ignore comment je te dirai ! Parce qu'aujourd'hui, je ne saurai pas quelle serait ma vie sans la masturbation et toi ? M’éveille-t-elle à nouveau à l’éclat d'un obus, cette fois. — Ah moi. Je ne sais pas non plus.
Nous, les humains, sommes sans aucun doute des curieux animaux capables de nous passer toute une vie, attendant de vivre sans avoir vécu la vie telle que chacun la souhaite.
Est-ce qu'il y a une autre vie que la désirée… ou la rêvée, autrement dit ?
Dans l'âge du mensonge dont nous sommes, un chien s'est dévoué tout faire à faire croire aux rats que le tigre n'est qu'un faible chat (en cela qu'il a eu fort succès, il faut le reconnaître) en vue d'encourager à ceux-là qui l'attachent le grelot.
Comme la faute d'intelligence condamne aux souffrants de faire des choses simples. Les choses complexes pour ceux-là n'existent pas. Ainsi, ils allaient à la source, en jouant avec la cruche, de laquelle ils buvaient, et en suivant le jeu à leur aise, la portaient vide, puisqu'elle était donc plus légère.
Il était une fois un petit chaton, dont sa mère qui, après d'avoir les denrées assurées chez le patron à qui se devait, a changé de se frôler dans ses mollets. Elle avait perdu autant de faire comme de faire apprendre à son fils les trucs de la chasse.
Un jour, la chatte, voulant procurer un autre chaton, laisse auquel elle a déjà aux bons soins de la mère de son ami ainsi qu'avec. Il était l'hiver, ainsi les deux amis se réfugient chez l’amphitryon. Le temps passe et avec, les deux copains ne font juste, sans sortir de leur palanque, que rigoler, bien manger et dormir. Le jour que la chatte y arrive, se trouve que son petit, qui l'était moins, ne peut pas sortir chez les souris. À la chatte, rien ne l'est resté autre que le donner de manger à tous les trois embouteillés par le trou de la niche. Le temps a fait le reste : le chaton en arrivant gros chat s'est étouffé, il étouffe la mère souris et étouffe aussi la petite souris… quelle ingrate manière de se défaire des souris.
Il fait de la peine, quel que soit le temps. Qu'en montrant la perte de tout l'acquis, pour après à nouveau poursuivre, attendre tout le perdu, qui nous fasse apprendre la nullité des politiciens que nous-mêmes avons élus ?
Sera-t-il que ces pieuses personnes ne l'en fussent jamais ? D'où, elles ne sont pas sûres du tout de si on les va mettre des ailes pour faire le voyage attendu, ou les faire prendre place dans la barque de Caron ?
Un berger, qui voulait tout pour lui, avait fait surveiller les moutons par plus de chiens que de loups les maraudaient ; chiens que le berger nourrissait des restes des moutons qu'il disposait à soi. Les loups, en voyant décroître leur population à défaut de nourriture à eux, ont décidé de changer leurs habitudes alimentaires, s'en faisant les végétariens ; ce qui les a fait proliférer pareillement aux moutons, lesquels au ne pas avoir prédateurs autres que le cupide berger, qui aimait autant y en profiter de ce que voir croître son troupeau. Nouvelle habitude celle-là qui a fait proliférer les loups, qui pas uniquement ont perdu la force, sinon qu'elle s'est multipliée en proportion au nombre : comme pour se laisser perdre le terrain pris ! Ce qui a fait, à manque de nourriture, le troupeau amoindrir ; une chose qui ne se passe pas chez la meute de chiens, lesquels, à défaut des restes de leurs surveillés, ils se sont résignés à les manger tous.
… Qu'est-ce qu'elle, je me suis demandé moi-même tout seul, m'aura-t-elle voulu dire ?