mardi 29 avril 2014

TROP INQUIÉTER POUR DANSER AU RYTHME DES PUCES

    À cause de l’inquiétante intention de faire inquiéter un autre, même l'esprit inquiétant fait l'ombre qui hante l'esprit à inquiéter. Il devient inquiet lui aussi… Quelle inquiétude pour que l'un, ce sans cesse d'inquiéter, pour l'autre, ce sans cesse d'être inquiété ; quel bal dont le monde semble avoir de couple des puces éprises, prises dans leurs entre-jambes.


    En parlant du temps et pour chercher une similitude, je prends des nuages, comme elles sont un esprit, qui se montre tout obscurci pour tout faire omniprésent. Ainsi, il coquetait parfois avec la lumière pour créer de l'inquiétude sur sa victime, si est-ce qu'elle s'en laisse faire, celle-là ciblée avec préméditation et fourberie.


    Pourtant, pas toujours la prétendue victime choisie, qu'elle ne soit tellement amante de l'uniformité qui suscite un ciel lumineux. Où le soleil fait peu pour se faire regarder, qu'elle préféra, à la lumière débordante de Ra, comment font les jeux des nuages avec la mélancolie des grises que les nuages, eux tout seuls, fabriquent.

dimanche 27 avril 2014

L'IMPORTANCE DE LA MÉMOIRE HISTORIQUE

    N'importe quelle forme de vie dépourvue de mémoire historique, elle deviendra sinon dans un état végétatif, sous l'un involutif ; alors, compte tenu que la vie est évolution, qu'est-ce que sommes donc nous, les humains ? C'est pour ça que je vous propose de vous soumettre sous l'empire de la réflexion, et une fois là, de vous faire immerger dans la dualité de ce qu'est-ce que c'est le plus important : le monde ou vous ? Ne l'en doutez pas, vous l'en êtes, parce que sans vous être, le monde ne l'en est pas non plus.
 
 
    Laissez-vous maintenant vous soumettre sous l'empire de la réalité (ne vous laissez pas soumettre trop puisque cela est justement notre problème) dont vous constaterez que vous existez comme vous vous sentez touché, du même que tout cela que vous touchez ou sentez ; mais éteinte la vie de qui qu'il en soit, il ne sera pas, depuis un insignifiant espace de temps, à plus long plus mensonge, au profit de ceux-là que l'en manient.  
 
 
    Alors, je me demande : (demandez-vous quoi qu'il en soit, je vous en prie, même qu'il soit pour ne pas me solliciter moi tout seul) existons-nous comme réalité, ou est-ce que nous ne sommes qu'une réalité virtuelle ; avec, en autre, ou sans, tout cela que nous entoure ? Ou c'est peut-être, pourquoi pas, qu'en nous, s'est métamorphosé le sens du toucher par celui d'attraper ; d'où, que l'on peut se tirer, il devient davantage que la détérioration, la perte de notre propre mémoire historique.

vendredi 25 avril 2014

OÙ N'ARRIVE PAS LE RENARD Y ARRIVENT LES STUPIDES

    De tous est connue, j'en suppose, la fable d’Ésope, dont un renard, qui en prétendant des raisins, tous déjà mûrs, les penchait au haut d'une treille, pour ne pas pouvoir les atteindre. Il se fait convaincre en se disant lui-même : ils ne sont pas mûrs encore !


    De tous est connue aussi, de cela que je n'en suppose pas, l'ineptie de nos politiciens, mais ne nous trompons pas ; ils sont élus par nous, en prétendant croire ce que personne ne pense point : qu'ils peuvent, à partir, faire quelque chose de bien.


    Sous la fraîcheur de la treille que le renard avait abandonnée, les stupides politiciens font stupides discours pour contenter leurs stupides électeurs, qui à cause de leurs applaudissements réchauffent l’ambiance. C'est donc que ceux-là grimpent aux épaules de ceux-ci pour s'en rafraîchir des raisins auxquels le renard n'a pas pu atteindre.

jeudi 24 avril 2014

PERTE D'INTÉRÊT À LA VIE

    Les animaux tous, la vie toute, bien que de façon dont les uns l'autre même, n'en ayant pas de similitude dans la manière de l'y faire, on se défend en forniquant. D'où, du plus ou moins niveau de reproduction, dans chaque espèce, dans chaque forme de vie, dépendant des pertes que se produisent dans chacune d'elles. Pour des survivants, assurer l'espèce, la forme de vie, quoi qu'elle soit.    

 
    Pourtant, nous les humains (les si gros prédateurs que nous en sommes devenus de nous-mêmes) en nous autoclassifiant en esclavagistes et esclaves, ce qui a fait dériver en nous, au fur et à mesure que notre déclive se propage, l'amoindrissement de la fornication pour une augmentation substitutive de la masturbation ; soit : perte d'intérêt à la vie.

 
 
    Eh bien, soit ! Ce qui, pour toute la diversité animale, leur ferait preuve de soulagement à la survivance des restants. S'il n'en fût qu'avec nous, nous pourrons traîner toute cette diversité-là… Il faudrait attendre de voir, mais ça, nous ne l'en verrons pas… pas tout à nos yeux ne va être gratifiant ni même que cela soit de nous voir disparaître.

mardi 22 avril 2014

MALADRESSE AVEC NOS DIEUX, LES VRAIS

    Durant ces dernières années, les dieux de l'Olympe ; les nôtres, les sérieux, en définitive : les vrais, on peut tellement les apercevoir enragés, à cause des simples mortels, lesquels viennent s'en mêlant dans leurs affaires, au climat concernant ; tout l'en bouleversant. Ce qui est provoqué de leur irresponsable, funeste, comportement.
 

    Qui n'a pas écouté Dionysos clamer : si la chose suit de cette façon, quelle vendange on pourra faire ! Ou à Saturne se plaindre : est-ce que ces méchants, ignorants, insupportables, impertinents petits mortels prétendent faire tout le monde, devenir charniers ? Ou à la magnifique Venus gronder (de sa délicate voix, bien entendu) : j'ignore comment je m'en vais habiller avec un temps aussi changeant, c'est qu'une ne peut pas se montrer tellement on est… Dans ce chaos (quand j'ai le nommé, Chaos me regarde circonspect du coin de l’œil) tous sont mécontents, tous ! Je n'ai pas vu, un tout seul, qu'il approuve ce qui se passe actuellement, ni même la discordante Éris, dans cet ambiant désaccordant (peut-être qu'elle, infatigable travailleuse, se voit dans le chômage) …  
 
 
    L'heure est grave pour nous, les mortels conscients de l'en être. Ainsi, vu comme marchent les événements, même sans rien y participer, il ne faut qu'attendre une réponse proportionnée des dieux, les nôtres, les sérieux, les vrais. Les autres mortels, ceux-là qui se croient immortels, ils ramasseront uniquement ce qu'ils ont semé.  

samedi 19 avril 2014

DIFFÉRENCE ENTRE LIONS ET BIPÈDES DÉPLUMÉS

    Le lion, le temps durant jusqu'à ce qu'il arrive à adulte, l'en passe, se préparant à être lion. Alors, dès qu'il y est arrivé. Jusqu'à ce qu'il s’accommode en place de mâle dans n'importe quelle troupe dont il a dû attendre que les lionnes déplacent leur mâle déjà vieilli (elles goûtent de la jeune chair).  Jusqu'à la place tenue, dont tout ce qu'il doit faire est :  manger, dormir, forniquer et rougir s'il vient un intrus marauder, pour faire avec son rugissement, renoncer à ses propos… rarement, il doit se battre !
 
   
    Pourtant, souvent, ce qui se passe (pour ne pas dire trop souvent) dans les humains, qui d'enfants : les garçons jouent à être enfants, de cela, qu'ils ne s'en arrêtent pas, ni même quand ils ont grandi. C'est pour ça qu'il faut que leurs parents (ceux-là qui aient du courage) les mettre à la vie à coups de pied dans leurs culs. En le concernant aux fillettes, elles jouent à être mamans, et quand, comme par hasard, elles deviennent mamans, elles jouent chez leurs parents, avec leurs fils tellement ils fusent poupées.
 

     Les mères humaines aiment que leurs fils sous leurs jupes, parce que, de cette façon, les fait sentir jeunes, elles épargnent ainsi en crèmes rajeunissantes. Par conséquent, pour se réaffirmer les unes aux autres, à cette miraculeuse solution, elles n'en doutent pas de se faire croire, pathétiquement, sans pudeur, que leurs petits-fils puissent, pourquoi pas, traverser leurs fils. Leurs maris, les pauvres, ils grondent à table, ils grondent parce qu'ils ne forniquent point ; et leurs épouses leur grondent, puisqu'ils ronflent en dormant.

    Somme toute, les bipèdes déplumés avalent quelque chose quoi qu'elle soit… et juste sans casque !

mardi 15 avril 2014

UN FORT ESPRIT DANS UN CORPS D'ATHLÈTE

    Le mieux qu'il y a pour éveiller l'esprit, afin de le réconforter ; pour qu'il prenne de la vigueur et, même de la force de la créativité, c'est uniquement de soumettre au corps qui lui soutient, sinon à l'effort physique, au sport ; celui-ci qui en autre est beaucoup plus élégant.


    Tout cela que je suis en position de pouvoir corroborer, depuis d'avoir essayé en dédiant mon temps oisif (à cause, je suis devenu un athlète de haute performance) au plus noble sport. Dur travail d'investigation dont le résultat ne s'en fit pas attendre, le voilà :


    En prenant le temps que je passais dans les bars, auquel, auparavant, je ne donnais pas de l'importance. Comme j'ai déjà dit, sport faisant, avec des pots, tous pleins de vin ! qui s'offraient volontiers à mes mains, les tenais moi, comme si de rien n’était, étant tout seul ou en compagnie d'autres athlètes. Je m'en suis immiscé progressivement, jour après jour, de plus en plus à l'exercice, ce qui, en plus de me faire pleine satisfaction, m'a aussi fait mettre un fort esprit dans un corps d'athlète.

    Je vous invite à essayer à vous, il sera bien sûr gratifiant, vous verrez, mais faites-vous attention au bon choix, en prenant soin, en choisissant le sport !

EXEMPLE DE FIDÉLITÉ

    En cherchant une chose, je m'en suis trouvé une autre, ça qui se passe quelques fois, le voilà : un exemple de fidélité.
    La vie est en toutes ses formes, y parmi nous, qui autant que toutes lesquelles l'on peut à simple vue apercevoir. Ainsi, nous ne sommes qu'un composite d'une immensité d'autres inaperçues, lesquelles, avec leur conjoint, sont plus ou moins bien places afin de façonner de la beauté, celle-ci qui est seulement l'armure du conquérant.
 

   
Eh bien ! Tout cela qui est vie, c'est, sommes-nous tous, des chercheurs potentiellement conquérants incommensurables d'espace. À ce sujet dont j'ai fait des observations, dès un point de vue empirique, en prenant pour modèle mon ami Hyacinthe : dragueur impénitent qui si bien n'est pas fondu dans le même moule que l’original, bien pourrait de lui aussi avoir né une fleur, bien qu'elle soit plutôt une courge… soyez-vous mauvais pensés ! Je l'ai choisi par le volume de ses fruits. Ce dragueur impénitent qui consomme ses rapports avec des volumes qu'à un mortel normal (même avec casque) seraient-elles espaces sidérales.
 

 
C'est à ce point arrivé, en faisant moi cette observation, dont j'ai découvert dans le dragueur impénitent un bel exemple de fidélité ; il aime tout à fait le volume, mais « UN » et non pas pour être myope, puisque le toucher montre jusqu'aux aveugles. Ce qui ne veut pas dire que les amants des filles à la mode ne souhaitent pas le volume, pour qu'ils l'apprécient en troupeaux.

samedi 12 avril 2014

PAUVRES CUBAINS QUI NE PENSENT QU'À FÊTER

    À l'occasion du voyage de monsieur Laurent Fabius à Cuba, on doit écouter des commentaires qui peuvent à peine sortir des esprits, où ne se cultive que de la médiocrité, celle-ci bien engraissée pour qu'elle pousse fort : de la pourriture, de l'ignorance.


    De toutes les conneries que moi, comme qui que ce soit. N'en est-il qu'un bouchon dans l'oreille, où on s'est fait écouter, parce que la pollinisation a rempli l'atmosphère ? Celle-là qui m'a produit le plus d’allergies fut sur la pauvreté du peuple cubain tout simplement.


    Eh bien, s'ils sont pauvres, ils l'en sont tous quand même ; malgré tout, toute la jeunesse-là est scolarisée, dont le lycée, obligatoire, ne coûte un sou à personne, ni non plus les outils. Autant qui se passe dans la formation universitaire, dont sa population est la plus nombreuse proportionnellement au nombre d’habitants que d'un pays autre. La santé est le patrimoine de tous. Ainsi, tous mangent là, pas trop peut-être, mais mangent tous. Ce qui a de l'avantage de ne pas avoir besoin de se mettre sous les coûteuses diètes amaigrissantes à quelques minorités, obligatoires à une majorité. Les Cubains ne peuvent pas, comme chez nous, « la riche Europe » de savourer de la richesse des gros riches, de laquelle nous délectons dans les magazines… En plus, ces emmerdeurs de Cubains, qui n'en ont ni de riches de qui se vanter, ni même, grâce à eux, de magazines en papier couché, ne pensent plus qu'en faire la fête.

jeudi 10 avril 2014

C'EST CHIANT ÇA DE L'INDIFFÉRENCE

    Quand on mène l’indifférence, indifféremment, par le si long et large chemin que lui délimite l'horizon entourant la plaine, dont elle sera vide de tout, que ne soient les combattants indifférents. Il fera ajouter que, consultant moi des experts, lesquels, depuis d'avoir fait toutes les recherches possibles, ils n'ont pas trouvé d'autres routes pour l'y mener.

 
    Pourtant, et même considérant la grandeur de l'espace dont tout est chemin, les pauvres cons indifférents se heurteront-ils, pas indifféremment, sinon irrémédiablement ? N'importe pas que l'espace soit absolu ; l'espace n'a rien à délimiter l'indifférence. Qu'est-ce que se croyait l'espace ! L'indifférence n'est pas n'importe quoi ! 
 
 
    En conséquence, les indifférents passeront indifférents, leur menant leurs indifférences devant un monde qui n'apercevra point l’indifférence des indifférents. Lesquels brûleront à cause de leur indifférence, sous l'indifférence des pompiers ? Quels parmi ce monde pourraient faire une activité pour les éteindre, s'ils ne passaient point indifférents…   
 
    C'est chiant ça, de l'indifférence. J'insiste.

mardi 8 avril 2014

TOURMENT À VOYEURS

    Qui n'a pas quelquefois attrapé un torticolis, dont la douleur subie n'est pas comparable chez un quidam que chez un voyeur comme il faut. Celui-ci qui se fait indisposer poursuit de ses yeux les pas de toute belle qui se lui croise. Ainsi, la tête vers l'objectif fera sentir au souffrant une douleur telle que si on lui enfonçât un clou d'énormes dimensions dans le cou…  
 
    
    … Quelle perte ! Quel abandon de pièce aux yeux de tout un professionnel !
 

    Le voyeur, tellement qu'une chouette blessée ne peut pas tourner sa tête, aveugle-t-elle, ou presque, à ses prédateurs, devient in-défense, le voyeur perdra le sens à vivre, le pauvre. Alors, il n'est pas rare de voir une personne qu'une autre, prise de cette maladie, renverse par n'importe quelle bagnole, par n'importe quel passage de zèbre, puis d'avoir bien confondu le zèbre avec une belle.

dimanche 6 avril 2014

UN AMOUR POUR L'AUTRE: MIEUX NE PAS AIMER

    La femme à qui aimait Philibert chaussait pantoufles de velours. Philibert n'a jamais su durant, si elle venait d'arriver, si était-elle chez lui depuis quel temps, ni si elle était partie ni quand. C'est pour ça qu'une fois son amoureuse était parti si longtemps, qu'il le crut pour toujours ; Philibert, que n'était pas amant de sursauts, l'un pour l'autre il a décidé de ne jamais aimer.
    La femme à qui aimait Philibert chaussait des pantoufles de velours. Philibert n'a jamais su, durant, si elle venait d'arriver, si elle était chez lui depuis quel temps, ni si elle était partie, ni quand. C'est pour ça qu'une fois son amoureuse était partie si longtemps, qu'il la crut pour toujours ; Philibert, qui n'était pas amant de sursauts, l'un pour l'autre, a décidé de ne jamais aimer. 
 
 
    Pourtant, Philibert regardait avec nostalgie, quand il écoutait le claquer de hauts talons, la prolongation qu'y montaient des fines et délicates chevilles, sans dépasser jamais au-dessus des plus hautes proéminences…    
 
 
    le cou, les lèvres, le nez, les joues, et surtout les yeux, étaient aussi attirants à Philibert, qu'ils pourraient bien faire son cauchemar revenir de nouveau ; de même qu'il fut cette fois compassé de l'harmonieux : tic-tac, ta-ça-ta ; tic-tac, tic ta-ca-ta… !   

samedi 5 avril 2014

LE RÉEL ET LA RÉALITÉ

    Contant que le sommeil soit la porte qui s'ouvre aux songes, elle sera, elle aussi, laquelle s'ouvre pour le réveiller… mais à quoi ?
 
   
    Tout le monde sait (parmi les personnes normales, sans casque) qu'un songe est un songe, soit-il beau ou un cauchemar ; mais qu'est-ce que c'est, ce qui n'est pas un songe ? Réalité ? Ou pourquoi pas, les songes sont-ils la réalité ? … ça qui ferait de la réalité un cauchemar ? Cependant, non ! affirment les experts, c'est pour ça que les patrons des affaires  se tiennent ; puisque les songes qui ne s’objectivent pas en réalité ne sont pas des affaires. C'est donc la réalité, bien sûr, le cauchemar.
 
   
    Choisissez-vous de ce fait à vivre si dans la réalité avec la médiocrité, ou dans les songes entouré de succubes et d'incubes, à choisir.

vendredi 4 avril 2014

RIEN N'A CHANGÉ NI RIEN CHANGERA

    Dans la prise de siège, où l'on a accommodé le patron des patrons, lequel n'est pas patron de rien, Son Éminence, le nouveau cardinal à Matignon, a déclaré :
    « Pas de rupture, mais une continuité » (la rupture par rapport à lui, la continuité concernant son prédécesseur).
  

     Soit le bal sera le même ; la même musique, les mêmes danseurs, tous presque. Ainsi, qu'il y aura changé de couples ; soit, n'importe quelle personne d'esprit envenime une atmosphère déjà chargée, en disant que Son Éminence prêche, faute de disposition innovatrice. Le sumo pontifie de l’Élysée, fou content de son choix, de façon que sa tête qui ne se tenait pas dans le casque jouait de la musique, plus pour que le cortège dansât pour lui faire la sourde oreille.

 

    Le sumo pontifie de l’Élysée, fou heureux de son choix, de manière que sa tête qui ne se tenait pas dans le casque jouait de la musique, plus pour que le cortège dansât pour lui faire la sourde oreille. 

    Bref, la rupture, bien sûr, n'en aura point, mais il ne faut pas être un grand analyste pour déduire que la continuité manque de billet par trop loin.

jeudi 3 avril 2014

NOYÉ MOI, QU'ELLE MONTE LA MARÉE

    Dans le film de Thomas Vincent « Je suis un assassin » le mec autour de qui se développe la trame « Ben Castelano » (François Cluzet) ourdi par « Brice Kantor » (Bernard Giraudeau) à tuer la femme de ce dernier par Ben, dont Brice pour fournir son alibi, il fait des pratiques devant un miroir : l'allure affligée, marmottant, de la tristesse qu'y correspond assorti, quelle horreur ! Quelle horreur ! Cette actuation dont vous tous, nous tous, toute la grande majorité de la France n'a pas besoin de miroir pour y faire, c'est assez de regarder parmi les médias, n'importe quel, pour tirer du cœur cette exclamation, sinon doublée, triplée, ou pourquoi pas la si répétitive sonnerie du démarrer d'une bagnole qui ne veut pas l'en faire, sa batterie en pleine forme.

 


    Dans ces médias qui publient ou font sonner, en vue de la nomination du premier ministre, monsieur Monsieur Vals un titre comme ça:
  
    La nomination de Manuel Valls à Matignon appréciée par les marchés financiers.
   Mal symptôme quand les contents sont les spéculateurs, soit une minorité de « sangsues » —pour le dire doucement tandis qu ceux-là la charrue du malheur les ouvre un nouveau sillon dans leurs fronts, c'est-à-dire toute une majorité, qui n'est que la classe ouvrière, soit la classe productrice, à laquelle les comblés, éminences intellectuelles, veulent reconvertir en classe exclusivement acheteuse… ?
 


    Qu'est-ce qu'il s'en va passer ? Voyons, tout le monde le sait, mais quand la rage soit fort étendue, de rien vaudra se défaire de l'enragé, en autre, à lui, à eux, cela leur va soulager… et la rage, elle y restera.