dimanche 16 juin 2013

LA PEUR À ÊTRE

    Depuis de la société, la nôtre, s'est allé constituant en cite-état, il se pourrait faire exceptions, et à moments donnés durant ; pour nommer l'une : la République Grecque, dont, le monde qu'y vivait, aussi comme tous les autres peuples, qui étaient à ces centres de pouvoir soumis, ont vécu tellement tous nous vivons aujourd'hui : sous l’empire de la peur. La peur la plus difficile à combattre : la peur médiatisée par le clergé, quoi qu'il en soit.
 

   
La peur de dire ou de ne pas dire.
    La peur de faire ou de ne rien faire.
   Peur même à penser, soit l'on pense en haute voix sans le vouloir.
 

   
Peur ou germent, pour ses créanciers, dissimuler, la combattre, soit que l'en faire, les débiteurs, redresseurs de torts, curés, bons et bons serviteurs… ? Ce n'est pas pourquoi, tout juste, me heurte en toute la face l'air réconfortant qui traîne ces mots d'Emiliano Zapata: « Il vaut mieux mourir débout que vivre toute une vie à genoux… » Un poète ! Un révolutionnaire ! Celui-là qui comme tout le monde. Il est mort, il a vécu, et pas comme tout le monde ; dans ses mots, Emiliano Zapata est vivant encore.

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