La
folie est quelque chose de terrestre, ainsi pervertie parfois à
cause de l’aliénation provoquée par ces vassaux-là. Mais, dont il
se fait patent, en effet, occasionnellement déplorable, causée par la
susdite perversion, l'imagination, la créativité, l'évolution ;
soit la liberté. En définitive, la folie est la force.
La
stupidité, toutefois, appartient aux cieux. Entendus ceux-ci comme
paradis divin. Cette stupidité, d'obscurs intérêts nous ont prétendu
faire croire
qu'elle est prise en héritage congénital. Ce qui, entre autres, nous
fait placer aux humains au-dessous de toute espèce vivante, soit animale
ou végétale, même quand elle est uniquement servie pour être forcée à
l'avaler par les
mêmes vassaux. Abrutis de tant y faire dans « l'empire de la peur ». La
stupidité est amorphe, servile ; elle vit dans le conservatisme d'une
léthargie
incommensurable, ce qui fait ériger aux touches de fiers adeptes, de
personne sait
quoi. La stupidité, pour l'en faire, elle aussi, une définitive, est
juste la faiblesse.
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