lundi 18 février 2013

UNE SI HAUTE MONTAGNE

    Il était un pays, dont il y avait beaucoup de petites et douces, même gentilles, montagnes. Ce qui était quelque chose d'indispensable à l’évènement, qu'il y avait longtemps s'est passé par là, se soit passé tellement il s'est passé.
 
    
    Tout a commencé le jour dont une montagne qui s'est mise à grimper sur une autre, en arrivant au-dessus, étouffée la grimpeuse reste là pour prendre repos ; mais, prise de la hauteur elle reste par toujours, façonnant entre tous les deux une montagne, plus grande que toutes les autres ; donc, une autre petite montagne grimpe sur la grande montagne, l'agrandissant plus ; une autre des petites montagnes grimpe, elle aussi, sur la grande montagne, et successivement les petites montagnes qu'y en restent vont grimpant, faisant devenir le pays en une absolue « grimperie ».
 
   
    Quand la susdite « grimperie » s'est arrêté (il n'y avait plus montagnes qui grimpassent) le pays dont il y avait beaucoup de petites, douces et même gentilles montagnes, seulement conserve maintenant une seule montagne, il faut reconnaître qu'une grosse montagne, celle-ci dont le sommet est toujours gelé, baissant de là-haut elle est agreste et même en baissant à ses pieds avec lesquels commence la plaine, qu'est-ce qui est devenu le reste du pays, par toute végétation. On ne trouve que broussaille, car la disparition des montagnes a entraîné ainsi du même aux vallées et vals, façonnant celles-là, qui ont fait d'abord possible la grande montagne, cette fois un désert à ses pieds… cependant dans le pays, antan de petites douces et même gentilles montagnes, outre, il ne reste personne qui puisse être fier d'avoir une si haute montagne.

1 commentaire:

  1. La montagne est mon point de repère: être invulnérable, tout le monde dire ce qu'ils veulent, je continue de marcher imparable ...

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