dimanche 24 février 2013

LA MACHINE ÉTAT

    La machine État fait de nous ce que nous sommes ; résultant : auxquels les circonstances aient été autant généreuses en les pourvoyant de moyens, comme radine en le concernant aux scrupules, ce qui me fait penser si est là où réside la vraie nature de notre essence, car si bien sont-ils, surtout des engendres sortis de la vie facile et vilaine, qui vont gouverner ; voire, manier les rênes de l'État le conduisant à leurs profits, utilisant pour bâtir le pavé de leur route les têtes d'un peuple, qui en autre ne souhaite que d'être comme ceux-là, le montrant quand non avec dévouement vers les satrapes, les faisant « élus » « démocratiquement » de cette manière affaiblissant plus le prestige de la déjà blessée de mort, démocratie. Ses satrapes qu'en plus n'étant pas du tout contents de l'être, ils fabriquent de fausses nouvelles élections pour s'incruster « démocratiquement » dans le pouvoir.
 
    Pour couronner le tout, la compétence judiciaire, soit le pilier de l'État, faible pouvoir qui exerce de la douce autorité sur les délinquants concurrents aux patrons de celui-ci, de l'aigre-douce aux pervers dépravés, ceux-là qui difficilement gênent aux patrons, aussi que de l'aigre justice sur les délinquants de nécessité, lesquels peuvent voler plus qu'un morceau de pain, se faire quelque insolence pour vouloir Être.  

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