Tandis
qu'un enfant éléphant se balançait sur une escarpolette du parc.
Une petite enfant humaine. Tout en face de lui, elle pleurait comme
un enfant cigogne en attendant la nourriture qui devrait amener sa
mère. Elle voulait se balancer, justement, dans cette
escarpolette-là, bien qu'il y ait d'autres. Le petit éléphant,
gentiment, lui laisse sa place, partant tout content, agissant sa
trompe de l'un à l'autre côté, jusqu'à ce qu'il trouve un cerceau
par là, avec lequel il se met à jouer. La fillette, qui l'avait
suivi. Elle commence de nouveau à pleurer telle qu'un crocodile.
Parce qu'elle souhaiterait jouer avec ce cerceau. Le petit lui donne
gentiment le cerceau, c'est une façon de le dire. Ainsi,
accomplissant la gentillesse, il part en courant, agissant la queue
et pliant l'oreille gauche contre son épaule pour regarder du coin
de l'œil si la pleurnicheuse le suivait, ce qui se passe. Le petit
éléphant (qui non pour être bien élevé était idiot) accélère
sa marche, dessinant formes indescriptibles avec ses oreilles, queue
et trompe, de manière que la pleurnicheuse devient une braillarde
consommée ; menaçant le petit de ses cris l'éléphant : tu
verras, quand j'aurai grandi, je te ferai faire tout cela qui me
plaira.

À ce qui répond petit éléphant (gentiment, comme ne peut pas être d'autres démarches). Je croirai moi aussi ! Ma petite adorable, à bientôt.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire