samedi 8 octobre 2011

UN ÉLÉPHANT SE BALANÇAIT

    Tandis qu'un enfant éléphant se balançait sur une escarpolette du parc. Une petite enfant humaine. Tout en face de lui, elle pleurait comme un enfant cigogne en attendant la nourriture qui devrait amener sa mère. Elle voulait se balancer, justement, dans cette escarpolette-là, bien qu'il y ait d'autres. Le petit éléphant, gentiment, lui laisse sa place, partant tout content, agissant sa trompe de l'un à l'autre côté, jusqu'à ce qu'il trouve un cerceau par là, avec lequel il se met à jouer. La fillette, qui l'avait suivi. Elle commence de nouveau à pleurer telle qu'un crocodile. Parce qu'elle souhaiterait jouer avec ce cerceau. Le petit lui donne gentiment le cerceau, c'est une façon de le dire. Ainsi, accomplissant la gentillesse, il part en courant, agissant la queue et pliant l'oreille gauche contre son épaule pour regarder du coin de l'œil si la pleurnicheuse le suivait, ce qui se passe. Le petit éléphant (qui non pour être bien élevé était idiot) accélère sa marche, dessinant formes indescriptibles avec ses oreilles, queue et trompe, de manière que la pleurnicheuse devient une braillarde consommée ; menaçant le petit de ses cris l'éléphant : tu verras, quand j'aurai grandi, je te ferai faire tout cela qui me plaira.
   À ce qui répond petit éléphant (gentiment, comme ne peut pas être d'autres démarches). Je croirai moi aussi ! Ma petite adorable, à bientôt.

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