Ignorant s’il rêvait ou s’il était réveillé, Séraphin se trouve soudainement dans une plaine rocailleuse dont, qu’il regardât vers où qu’il regardât, il ne voyait chose d’autre que la plaine. Tellement rocailleuse celle-ci, que l’on y était aussi difficile de se tenir debout que de marcher.
Chemin faisant, pour s’en sortir, soudainement, il se trouve pataugeant dans la boue, jusqu’à, aussi soudainement, il se situe dans un chemin qui s’ouvre entre la brousse, l’en déblayant à ses bords.
Il marchait donc par là, commodément, regardant le ciel. Soudainement, à nouveau (il fit un jour assez soudain), ses pieds sentirent un tapis moelleux… Baissant les yeux, il ne voit qu’une immense, voire infinie prairie toute fleurie. Le ciel, généreux, l'offrit un sourire.
Tant mieux pour lui... :)
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