Le
plus grand nombre d’entre nous, vivant dans l’inhospitalier
paysage capitaliste, y survivons comme marchandise.
Dans
la surchargée atmosphère de ce déplorable paysage, les hommes marchandises habitent ses alentours, tandis qu’une minorité
l’en fait dans le cœur ? Du déplorable, auquel les partenaires
de celles-là se sont rendus en serviles fouets pour en profiter.


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