Une
amie m’a offert une plante maladroitement enfoncée dans un petit
pot à qui, sur-le-champ, je l’ai transplantée dans un autre plus accordé à sa taille. Cet exercice qui m’a fait réfléchir, moi.
À l’homme, souvent, ne suffit point l’air de chez lui, qu’il fera pour respirer l’air chez ses congénères ; ce qui ne lui satisfera pas non plus. Ainsi, il imaginera l’inimaginable pour respirer l’air de l’infini…


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