samedi 27 janvier 2018

RESPIRER TROP HAUT, ÉTOUFFE

    Une amie m’a offert une plante, maladroitement enfoncée dans un petit pot, à qui sur-le-champ, je l’ai transplantée dans un autre plus accord à sa taille. Cet exercice qui m’a fait réfléchir moi.
 

   
À l’homme, souvent, ne suffit point l’air de chez lui, qu’il fera pour respirer l’air chez ses congénères ; ce qui ne lui satisfera pas non plus. Donc, il imaginera l’inimaginable pour respirer l’air de l’infini…
 

   
Pauvres petits cons ! Ils ne s'aperçoivent pas que l'on n’est que tellement une plante (pareille à celle que m’a offerte mon amie) qui, en dehors de son pot, ne peut pas s’en aller de soi, chercher terre ou pousser.

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