L'ermite sort de son antre avant que les rues soient mises, puisque tout juste après elles seront remplies de voluptueuses invitant au péché. Personne ne pourra, ni la plus immaculée, l'en repousser. Ainsi, un jour, l'été coulant, la matinée s'est soudainement réveillée, donc, au fur et à mesure que celle-ci s'ôte des habits de la nuit, elle impose la nudité à l’ermite aussi.
Parmi
la lumière, se façonne progressivement le péché. Celui-ci qui,
dans un survêtement, se laisse deviner une belle structure aux
rotondités vénusiennes ; dont les fermes muscles, pour s'affirmer à
chaque pas, fait que ce qui y regorge tremble tellement comme un flan
sur une assiette depuis que celle-ci, on l'a mise sur table.
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