Une
fois, en étant moi, dialoguant avec un verre de vin, rouge comme
moi, sans faire du mal à personne, une vieille amie poussé d'un
fort vent, fort et rancunier tout juste, il y en arrive et tire :
le nouveau-né, avant de l'en être, a été attaché, du cordon
ombilical duquel suce de sa mère durant sa formation.
Elle respire. Et, sans attendre la réponse, elle poursuit : tout juste, le parasite (c'est « il », pas « elle ») sort à la lumière. Alors, le temps qui le reste, restera-t-il attaché à la terre, dont elle fera un sort de lui, tel que s'il fût une omelette sur l'assiette d'un famélique… tout dit, ma vieille amie s'en va.
Je crois plutôt que pour me remettre sur le vieux dilemme de qui a été d'abord l’œuf ou la poule. Cependant, elle met en cause, pas uniquement moi, sinon les hommes tous ; en faisant remarquer qu'ainsi, nous avons des œufs, qu'il n'a pas été pour les avoir déposés, nous, et que leur service uniquement ne soit pas pour forniquer.
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