En prétendant s'éterniser, à l'homme ne l'est resté d'autre qu'éterniser sa mémoire, en se faisant garder ses os dans des murs de pierre ; son nom gravé à l'extérieur pour que le monde sache qu'il est là.
Souvenir
prisonnier qui ne touchera grandeur que la grandeur que lui donnent
les murs qui l'emprisonnent.
Auquel
le temps, oxydant incontournable, y fera, comme il l'a déjà fait
sur les hommes, tous de triste mémoire, sur les pierres lesquelles
les gardent. Celles-là, après avoir effacé d'elles leur nom.
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