Le maître n'avait déplacé ni le premier pion, ni le château de cartes, avec lesquelles le tricheur le voulait bluffer, tombant de l'éternuement nerveux de celui-ci.
Le
maître, donc, pour tranquilliser son concurrent, lui donne la main,
à jouer avec ça qu'il reste debout sur table ; ce qui, entre
autres, était le convenu.
La
concurrence était façonnée, probablement par une personne
d'intelligence limitée (pour l'en supposer quelqu'une) fait armer
ses pièces, pour qu'elles attaquent celles-là du maître, qui
soupire, le pauvre, marmottant : sont comme enfants, enfants
bien entendu abroutis et ignorants, ce qui les fait dangereux… mais
qu'est-ce que se l'en va faire ?
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