samedi 30 mai 2015

PAS TOUS LES COURANTS SONT SAUVÉS

    De tous les courants que l'homme a dû sauver dans son existence durant, c'est celle-là de l'ambition, maîtresse d'une contre-nature irréfrénable sortie d'où qui le sait, qui a englouti l'homme, l'en libérant dans un tel état d'ignorance sur son propre environnement, que le pauvre au ne pas savoir qu'y faire s'est monté sur un socle pour se faire dieu. 
 
   
    En tant que dieu, et vu de l'ennuyeux qu'il était là-haut placé, il s'est fait substituer par une statue. L'homme est un danseur incontournable.
   Là-bas, le touché de l'ignorance, soit l'homme (ou la femme ; elles sont aussi nageuses que leurs partenaires) où celle-là n'aussi persiste, sinon qu'elle se voit agrandir, au lieu de danser avec ses congénères, ou pourquoi pas les animaux autres, il, ou elle, fait tout pour maltraiter les siens aussi comme anéantir les autres…
 
   
    Nous sommes de cette façon…  pauvres ! ... mais surtout pauvres les animaux autres, qui en autre n'ont pas fait mal à personne.

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