Dans le bar, le tabouret est un truc pareil à une perche dans le poulailler. Dans une cafétéria, en cette fonction-là s'impose la chaise ; chez moi, c'est le fauteuil, mais surtout le lit, qui l'aménagent, comme tout mobilier, à l'usage et à la jouissance des fesses.
Si
bien dans le fauteuil, on s’accommode, pour faire restreindre les
activités intellectuelles et biologiques. Celles-ci en le concernant
à l’entretien du pilier de la tête, dans lequel se programment
les physiques au support, et même parfois de se faire là du repos.
Dans
le lit, « le sacre lit », quand on est assez d'y tirer profit
de l'usage pour lequel il a été conçu. On peut bien profiter de
lui comme fauteuil « quel trône » des rêves, dont l'esprit
demeurant un corps qui n'a pas fait, ou n'a pas pu faire, des
aventures désirées, il se les fera vivre.
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