Il y a un moment dans la vie de tout homme à qui l'on fait quitter le bar, pas pour toujours, il ne faut non plus dramatiser, mais pour longtemps quand même. Une fois moi, passant cette dure épreuve ; en chemin, faisant chez moi, la même maison qui a été de mes parents, de mes grands-parents, etc., ce qui m'a fait envoler à son au-dessus, par là où flottent les souvenirs.
Le
brouillard, soit-elle, étrangère aux temps qui venaient sur moi,
sans savoir moi pourquoi ni comment (même que l'on sache pourquoi,
jamais, comme elle s'impose toujours à tout). Elle distrait les
souvenirs, mon sourire les caressait.
Le
brouillard, soit-elle, avait mis à moi, à l'heure, au jour, dans
les temps où tous
nous sommes ; quelle horreur ! Tant de médiocrité me fait
étouffer : marchants, curés, banquiers, politiciens… la
Merkel ! Quel horrible cauchemar… ça me fit défaire le chemin
parcouru pour rentrer à toute vitesse, m'abriter là, d'où j'étais
venu.
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