samedi 18 avril 2015

À MAUVAIS TEMPS, RETOUR AU BAR

    Il y a un moment dans la vie de tout homme à qui l'on fait quitter le bar, pas pour toujours, il ne faut non plus dramatiser, mais pour longtemps quand même. Une fois moi, passant cette dure épreuve ; en chemin, faisant chez moi, la même maison qui a été de mes parents, de mes grands-parents, etc., ce qui m'a fait envoler à son au-dessus, par là où flottent les souvenirs.


 
    Le brouillard, soit-elle, étrangère aux temps qui venaient sur moi, sans savoir moi pourquoi ni comment (même que l'on sache pourquoi, jamais, comme elle s'impose toujours à tout). Elle distrait les souvenirs, mon sourire les caressait.


    Le brouillard, soit-elle, avait mis à moi, à l'heure, au jour, dans les temps où tous nous sommes ; quelle horreur ! Tant de médiocrité me fait étouffer : marchants, curés, banquiers, politiciens… la Merkel ! Quel horrible cauchemar… ça me fit défaire le chemin parcouru pour rentrer à toute vitesse, m'abriter là, d'où j'étais venu.

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