Chaque
forme de vie l'en est pour être à cela qu'elle a été conçue. Pourtant, nous, les bipèdes sans plumes, avons fait de la nôtre,
depuis la nuit des temps, tout pour faire quelque chose d’étrangère
à la condition dont la nature nous a ménagé, comme prétendre
voler. Résultant de cet entêtement sous lequel nous y avons fait
notre parcours, qu'il soit arrivé le jour, dont nous, nous aurons
oublié de marcher.
Nous
avons, tout semble laissé déjà d'être, chacun, un être vivant
parmi un ensemble d'autant d'autres. Cela pour former part d'une masse en état constant de fermentation,
jouant les coud les uns les autres. Chacun est uniquement sa
profession (laquelle à la valeur de l'argent que l'on peut apercevoir,
ou bien de l'argent par lui accumuler n'importe comme elle soit
gagnée) dans cette masse dont chaque individu n'est qu'une éruption, y
parmi lequel veut tout ce qu'il peut infecter.
Ne désespérez pas, la nature a survécu aux pires catastrophes
que nous. Ainsi, nous ne sommes indispensables que plutôt à la
mort qu'à la vie. Alors, si bien la nature, sage, ce qui se dit
sage, ne l'en est absolument pas nous en laissant nous y partager vie,
ou bien pourquoi pas peut-être elle a du sens de l'humeur ; parce que
comme animaux de compagnie, personne n'en doute, nous sommes bien
amusantes, quoique dangereux à long terme… mais ça s'arrange !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire