Une
courageuse casse-pieds qui n'avait rien mieux à faire que
courageusement pratiquer tous ces deux qualités. S'en faisant, pour
y faire, des oreilles d'un ami à elle, affaiblit, le pauvre
andouille. Cause d'une mésaventure dont il n'avait tiré que des
amours contrariées, pour l'expliquer à l'amoureux, que rien sentir,
c'est bien senti, tout autant que, ne pas sentir, c'est ne pas
sentir.
Pourtant,
continua la courageuse à qui les oreilles de l'amoureux l'en avaient
fait plus fort, courageuse. Celui-là qui fait faire émaner de soi
des effluves d'amour sur des narines touchées du rhume de
l'indifférence, il ne fait pas chose d'autre, laquelle soit juste
cracher côté au vent. On ne se peut pas lutter contre les éléments,
puisqu'ils se sont conformés dès toujours, par rapport à nous
bien entendu, et ne vont pas maintenant s’emmêler avec des conneries, lesquelles sont
propres à nous.
L'amoureux respire alors, tellement un bœuf à la poursuite d'une vache
en chaleur, pour s'armer de courage. Une fois encouragé, il se met à
émaner de renouveaux des effluves phéromonales, tellement un bœuf qui a
déjà pris une vache, en chaleur évidemment, effluves qui cette fois, il
dirige vers la côte du vent, où dissimulait s'abriter, la courageuse,
des tempêtes… quelles deux fauves ! Courageusement amoureuses, tous les
deux sont devenus.
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